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Récréation Tout ce qui n'a pas sa place dans les autres forums

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Vieux 17/12/2009, 21h45   #1
dolarcles
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Date d'inscription: 07/07/2006
Localisation: dining in Hell
Messages: 3 406
Par défaut Concours de quéquettes rhétoriques

Allez les gars, grand concours ! (C) Idée originale de Drixmok !

Répondez Ã* ce texte en un maximum de ligne (vous êtes autorisés Ã* écrire plusieurs messages si le forum vous limite le nombre de caractères), tout en y mettant un minimum de sens et un maximum de mots complexes ! Cadeau bonus pour celui qui placera des mots en caractères non-imprimables !


Citation:
Envoyé par M@cZér0
Bah non, franchement, pourquoi inviter la populace quand on peut faire un dialogue entre 2 ou 3 élites littéraires?
+1 avec une nuance cependant, je réfute le mot "littéraire" je ne fais jamais de référence littéraires poussés, je reste toujours dans les classiques populaires, nous ne sommes pas sur le forum de "C Dans L'air" quand même (d'ailleurs certains devraient y faire un tour pour constater ce qu'est un vrai forum de débat, sans moustiques boutonneux)

Oui bien entendu il est évident que je vise plus particulièrement une fraction bien précise du forum (disons les +25 ans, en réalité ce n'est pas une question d'âge ni de classe, mais c'est pour faire bref) c'est triste Ã* dire, mais je n'ai malheureusement plus le temps de répondre Ã* des gens inexpérimentés comme je l'ai toujours fait des années durant sur PA, en particulier sur des sujets dont ils n'ont même pas le début d'une réflexion.

d'ailleurs tu remarqueras que ça marche plutôt bien, les seuls qui argumentent sérieusement sur le fond sont dans ma cible, même si on ne partage pas forcément la même opinion.

Certains autres Ã* part proférer quelques gentilles brimades Ã* mon endroit quand ils parviennent Ã* déchiffrer une ou deux phrases, n'ont pas grand-chose Ã* ajouter sur le fond (simplement parce qu'ils n'ont pas l'âge et/ou l'expérience de le faire, il ne faut pas avoir honte de ne pas comprendre), cela me convient c'est le principe du forum, il n'y a pas de honte Ã* cela.

Citation:
Envoyé par Vince
- citer Orwell, Kafka ou autre pour parler de nolife, j'en vois pas l'intérêt
Tu exagères Vince, je n'ai ni parlé de Orwell ni de Kafka, j'ai dit Novlangue... mot pourtant très courant, tu m'as ensuite demandé pourquoi et seulement lÃ*, j'ai dû m'en justifier (hors débat du départ) en prenant des exemples, pas avant.

Citation:
Envoyé par Vince
pour finir, il n'est pas nécessaire d'écrire des pavés complets pour faire comprendre une idée, au contraire, être synthétique est bien plus difficile mais c'est bien plus efficace
Je ne te suivrai malheureusement pas dans cette analyse, notre langue est riche il faut savoir l'utiliser avec justesse, mes idées sont écrites, tout y est, je te propose de relire sans aprioris et avec justesse ce que j'ai écrit et ensuite ose me dire sincèrement que tu n'as pas compris ce que j'ai voulu développer, mais c'est ainsi fait, certains ont tendance a poster plus vite que leur ombre sans avoir bien saisit l'argumentation, certains avouent sans aucune gène ne pas avoir lu du tout, mais comme c'est nesgba par principe on est contre, peu importe ce qui est écrit.

Un petit exemple, la je vais m'amuser Ã* déconstruire ce qu'a tenté de faire l'un des intervenant, il me semble que c'est un modo (je sais plus lequel) qui avais déjÃ* tenté ça sur un autre topic. (tu verra que si je m'amusai a faire ca a chaque fois avec tout le monde, mes interventions ne se résumeraient pas seulement en quelques dizaines de lignes)
En gros l'objectif est de laisser planer l'idée sous-jacente qu'étant donné que je suis codeur de formation et partant du principe que le codage repose (ça n'a en fait rien Ã* voir, mais peu importe) sur la logique booléenne, cela doit avoir une influence sur le psyché et peut-être que ça & contribué Ã* me faire développer une vision manichéenne des choses, donc soit blanc soit noir en rapport avec le binaire, 0 ou 1 devient méchant ou gentil... est-ce que tu imagines le niveau ahurissant de crasse intellectuelle qu'il a fallu cumuler pour aboutir Ã* ce type d'argument...
cqfd: le sel dans tout ça c'est quand il s'agit d'un codeur qui dit cela Ã* un autre codeur...

Tu vois que je n'ai même pas eu besoin de répondre, la vérité parle d'elle même.

Citation:
Envoyé par Hitto
et nes : t'es vraiment naïf. Pas pour ton discours, mais pour croire que tu peux convaincre/éclairer/convertir quelqu'un sur internet, lol.
Tu as peut-être raison, (en tout cas sur ce forum), mais saches que ce n'est pas pareil sur tous les forums, c'est désolant de constater que moins les gens ont de culture générale moins ils sont ouverts au dialogue, je pense qu'il y a moyen de le théoriser, mais peu importe, même si en effet, discuter avec des gens qui sont dans un carcan intellectuel, culturel, philosophique pauvre n'est certes pas très intéressant, il faut se dire que tout le monde évolue, ce forum existera encore dans 5 ans et ceux qui jadis avaient 20 ans seront plus matures, auront changé de paradigme et seront plus Ã* même de comprendre des arguments qui autrefois avaient une signification autre Ã* leurs oreilles, c'est lÃ* l'intérêt de continuer Ã* argumenter sagement, l'important n'est pas de convaincre dans l'immédiat tous les segments sociaux qui composent un forum, ce qui est important c'est de dire une parole de vérité, tout simplement.

Citation:
Envoyé par archipel
par contre, c'est Orwell qui a dit en premier dans la ferme aux animaux "Certains sont plus égaux que d'autres"
Exact, mais il faut re-contextualiser, dans le bouquin ceux qui sont plus "égaux" se sont des ancien pauvres (j'ai pas le bouquin sur moi, mais il me semble que c'est "Boule de neige" qui dit ça un peu avant de se faire chasser :'().
La ferme des animaux est un récit qui démontre simplement que les pauvres deviennent autant voir pire que les riches dès qu'ils obtiennent le pouvoir, (c'est avant tout une critique du communisme, il faut simplement se souvenir de la fameuse affiche "Big Brother is watching you" dans 1984, c'est le portrait craché de Staline).
La ferme des animaux reste un petit texte accessible Ã* tout le monde (petits gauchistes geignard compris).

C'est un peu comme l'expérience des rats plongeurs, il y a des hiérarchies sociales qui reviennent toujours, des dominants et des dominés, impossible d'aller contre cela sans créer un système totalitaire de la pire espèce.

Citation:
Envoyé par Tembargo
Je suis sur que tu as des choses intéressantes Ã* dire Nesgba, mais le ton que tu emploies (tout comme Hitto..) te rend vraiment détestable au possible et limite inintéressant(je dis limite car j'ai tout de même été voir après coup, ce roman d'Orwell ).. Et c'est bien dommage..
Je ne te répond pas qu'a toi hein, mais comme il y a eu plusieurs fois la question.

Avant toute chose je le dis clairement, ça ne me dérange pas, j'ai la chance d'aimer la compétition et l'adversité, je n'irai pas jusqu'Ã* dire que c'est un plaisir tout le temps, mais je te concède volontiers que parfois, c'est réellement jouissif d'être en quelque sorte le polémiste officiel de PA, plus j'ai de messages fielleux plus grande est l'excitation

Bien je te propose un exercice simple, imaginons que dans un topic tu proposes ton avis, en restant dans les règles du forum et de l'étiquette, un avis qui, en est un parmis d'autres, qui ne vaut ni plus ni moins, ni meilleur ni pire, tu as un gars, certainement un pleutre de la pire espèce mais passons, qui, parce qu'il n'est pas d'accord avec toi, qu'il ne t'aime pas, qu'il n'a pas envie de débattre, peu importe la raison, déplace ton texte, ne laisse aucun message, ne laisse pas son nom, n'explique nulle part, ni en privé, ni en public ce qu'il a fait et dépose ce message dans un topic nommé "poubelle : Tembargo" sans autre forme de procès.

Après cela, loin de vouloir réparer ce terrible forfait tu as une sorte de lever de bouclier corporatiste qui s'enclenche, "c'est notre modo il n'a pas fait d'erreur", et dans une sympathique bonhomie tout le monde s'accorde sur le fait qu'au final ce n'est pas si grave, puis ce n'est qu'un forum hein...

Même si tes idées sont exactement Ã* l'opposé des miennes, il aurait fallu que tu te battes pour que ce genre de geste ne puisse plus se reproduire, cela même si tu éprouves Ã* mon égard une aversion des plus vives.
C'est ce qu'on appelle la démocratie, tout simplement, je ne te ferait pas l'affront de te ressortir la célèbre phrase de Voltaire (qui d'ailleurs n'est pas réellement de lui ).

Et après tout cela, tu viens me dire que ce qui te choque, c'est que j'ai une argumentation qui est un peu martiale ou dédaigneuse.
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Dernière modification par dolarcles ; 17/12/2009 à 21h51.
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Vieux 18/12/2009, 10h33   #2
archipel
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nan mais faut réouvrir le topic de nesgba, même si il ne vous plait pas, moi j'aime tout lire, aussi il enfreint aucune règle, puis si vous etes pas content vous n'avez qu'Ã* pas y aller sur le topic

Edit supermodo : premier avertissement. Les posts de moins de 15 lignes seront supprimés ou édités de façon Ã* faire passer leur auteur pour des crétins des Alpes (avec tout le respect qui leur est dû) et donneront lieu Ã* des sanctions disciplinaires pouvant aller jusqu'au ban définitif sur plusieurs générations.

Dernière modification par drixmok ; 18/12/2009 à 12h14. Motif: Message trop court non compatible avec la charte du topic.
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Vieux 18/12/2009, 10h34   #3
dolarcles
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C'est un bon début, mais ça manque cruellement de volume !

Edit supermodo : c'est valable également pour les autres modo, quand bien même ils seraient les instigateurs de topic en question. Non mais alors.
Sans compter que reprocher Ã* autrui ce que l'on fait soi-même (c'est Ã* dire poster un masseage encore plus court), hein, alors. Et encore je reviens pas sur l'escroquerie du premier post qui n'est qu'une vile repompe de messages déjÃ* postés par d'autres, c'est pas joli-joli. Ca non.
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Dernière modification par drixmok ; 18/12/2009 à 12h17. Motif: Pareil qu'au-dessus.
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Vieux 18/12/2009, 12h12   #4
drixmok
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Envoyé par dolarcles Voir le message
Allez les gars, grand concours ! (C) Idée originale de Drixmok !
Seul l'intitulé me revient, je n'aurais jamais imaginé que ma formulation débouche sur un réel concours de quéquettes réthoriques, j'en suis flatté.

Du coup je me sens obligé de tenter une participation.

Chapitre 1 : de la longueur et de la complexité du discours, particulièrement sur un forum de jeux video.

Vaste débat que celui-ci, en même temps vu le sujet du topok il ne peut en être autrement.
Sur ce point précis j'ai un sentiment partagé. En tant qu'amoureux des mots et grammar-orthograph-syntax nazi, j'aime avoir parfois recours Ã* des formulations complexes, des phrases longues aux structures ampoulées parsemées de termes de plus de quatre syllabes et foisonnantes de références culturelles plus ou moins obscures, plus ou moins évidentes, plus ou moins accessibles. De ce point de vue, les références Ã* Orwell, Kafka, Nietzsche ou Gérard Hernandez ne me dérangent pas, bien au contraire. J'ai tendance Ã* penser que ce qui me défie me fait avancer. Or, lire une argumentation touffue et complexe est un défi lancé aux lecteurs, défi qui se présente généralement sous la forme de pavés souvent qualifiés d'indigestes et décourage d'emblée les plus fainéants. C'est d'ailleurs quelque chose d'assez drôle, cette analogie Ã* la nourriture, et Ã* y réflechir un peu c'est relativement absurde, comme si la simple vue de la taille des plat servis sur une table dressée suffisait Ã* en définir le degré de digestabilité ! Suivant ce principe, une simple assiette garnie d'un steak Ã* l'origine douteuse accompagné de frites suintant la vieille graisse brûlée, servie dans un vil snack Ã* l'hygiène improbable serait a priori plus digeste qu'un buffet gargantuesque, constitué de mets inconnus et exotiques, élaboré par un grand chef dans les règles de l'Art et en respectant la chaîne du froid. C'est parfaitement idiot, vous en conviendrez aussi bien que moi. La longueur d'un texte ne permet en aucun cas de présumer de la qualité de son contenu. Certes, la probabilité de voir le locuteur trop prolifique partir dans des digressions est plus importante que dans le cas d'un post mono-smilesque, mais il n'en reste pas moins que le contenu a également plus de chances de comporter une argumentation solide et réflechie qu'une famélique réaction épidermique imagée que d'aucun qualifieraient au mieux de reptilienne. Car c'est bien lÃ* un point important et dommageable Ã* la communication : sur un forum, au-delÃ* de la fainéantise chronique et de l'incapacité structurelle Ã* la concentration -dûes d'un côté aux usages intensifs voire frénétiques de l'Internet (réseaux sociaux débilitants en tête) et de la télévision, qui Ã* force de zapper de chaînes en blog en twitts en spots publicitaires réduisent Ã* néant les facultés congnitives, et d'un autre côté Ã* l'Education Nationale qui en plaçant l'élève au centre de son enseignement n'a pas eu les effets escomptés, loin de lÃ*- des participants, règne un indéniable découragement face aux mots, Ã* leur poids et Ã* leur sens. Le manque évident de culture et de curiosité de la plupart des personnes fréquentant les forums rend la moindre argumentation soigneusement élaborée incompréhensible au plus grand nombre... Mais est-ce l'auteur du texte imbitable qu'il faut blâmer ou faut-il se blâmer soi-même de ne pas être en mesure de comprendre ce qui est écrit alors que l'on s'estime supérieurement intelligent ? Hmm ? La question mérite d'être posée, et systématiquement. Car on reproche sans arrêt aux autres de ne pas communiquer correctement, et quand ils le font, on leur reproche d'en faire trop. Bref, une remise en question personnelle ferait le plus grand bien aux ramollis de la cafetière qui préfèrent casser du nazi dans Call of Duty 27 plutôt que de lire un vrai bon livre comme en écrit Marc Lévy.

Cela étant posé, il ne faut néammoins pas, sous prétexte que l'on souhaite élever le débat -bien souvent hélas contre le gré des autres débatteurs qui se complairaient bien dans une tornade de posts expéditifs menant irrémédiablement Ã* une avalanche de points Godwin- se couper volontairement du reste du monde Ã* grand renfort de références Ã* la littérature ouzbèque du 15ème ou d'analogies avec la théorie des cordes. On se sent intelligent Ã* ressortir ces choses que l'on a apprises au hasard d'une compulsation méthodique de Wikipédia et de l'encyclopédie universelle du Petit Robert, mais cela ne se suffit pas en soi. C'est lÃ* bien souvent l'écueil principal des grands parleurs, ils usent et abusent mais c'est bien souvent au détriment du fond qui de fait et de façon relativement paradoxale n'est plus qu'éfleuré et tiendrait finalement dans une phrase courte et péremptoire pouvant aisément, dans la plupart des cas, être résumé Ã* ceci : "Cherche pas t'as tort, tu dis d'la merde, MOI j'ai raison épicétou." Par ailleurs, il est certes jouissif d'user de termes et de tournures complexes afin de faire croire Ã* ceux qui lisent qu'on les estime pour intelligents alors qu'en réalité tout ce que l'on dit c'est qu'ils sont cons comme des balais Ã* chiotte d'aire d'autoroute. Mais c'est une attitude méprisante et par conséquent méprisable. Le problème est que l'on est souvent tenté d'en arriver Ã* ces extrémités face Ã* la vacuité des arguments qui nous sont proposés... Défauts d'arguments, de réflexion et de construction du message sont effectivement rédhibitoires lorsque l'on cherche Ã* partager -ou plutôt devrais-je dire imposer tant il est fréquent de lire des messages au prosélytisme ostentatoire- un point de vue, une idée ou une opinion. LÃ* encore, il faut se défier de cette tendance naturelle que nous avons tous Ã* estimer que la vérité unique est de notre côté, et que par la même les autres ne peuvent en aucun cas en être détenteurs, quand bien ils tenteraient de nous le faire croire en nous imposant leur avis. C'est une chose que je tiens pour acquise et sur laquelle toute tentative de réfutation se solderait par échec, soyez-en sûrs. Bref, il est nécessaire de se rendre accessible au plus grand nombre si l'on souhaite être au moins lu, au mieux entendu. Evidemment, il faut Ã* tout prix éviter de tomber dans les écueils du populisme crasse comme le fait si bien notre cher et vénéré Président de la République, car user d'un vocabulaire et d'une gestuelle Ã* peine dignes d'un redneck pouilleux consanguin perdu au fin fond du plus obscurantiste des états d'Amérique ne vous rend pas plus intelligible. Au mieux vous passez pour un con, au pire vous passez pour un salopard de politicard de merde qui prend ses électeurs pour des débiles profonds, mais je m'égare quelque peu en disant cela (plus haut je faisais état des digressions Ã* côté desquelles il est difficile de passer lorsque l'on tente de construire une argumentation fouillée et complexe, en voici la preuve éclatante. D'autant plus éclatante que la digression en question m'a amené dans une autre digression tout aussi parasitique vis-Ã*-vis de mon discours et qui si je n'y prends garde pourrait bien malgré moi entraîner une réaction en chaîne aboutissant Ã* un hors-sujet magistral, mais je saurais résister Ã* la tentation et m'en tiendrai lÃ* concernant cette fâcheuse parenthèse).

Ainsi donc, il est difficile de tracer une ligne droite et uniforme quant Ã* la durée et au contenu du message idéal sur un forum, qu'il s'agisse de celui sur lequel je poste présentement ou de celui de C dans l'air et qui, rien que par son intitulé, me rebute, mon statut d'orthograph nazi me rendant allergique Ã* toute forme de SMSisation du discours. Je ne doute pas que ledit forum soit fréquenté par des locuteurs de qualité mais je n'y foutrais jamais les pieds, le forum d'un émission télévisée (aïe) du service public (re-aïe) qui use dans son intitulé d'une formulation SMSesque (re-re-aïe) dans le but d'essayer d'attirer le crétin moyen alors que toute personne normalement constituée sait que c'est peine perdue étant donné la concurrence autrement plus séduisante (Cauet et son manège enchanté de poufiasses aux atours criards et de beaufs tuningués, ou Dechavanne et sa roue de la fortune autour de laquelle gravitent des candidates aux décolletés aussi vertigineux que leur abyssal manque de vocabulaire, une Victoria Silvsted qui a fait entrer la potiche dans une nouvelle ère qu'on y mettrait bien le kiki et un chien qui par sa seule présence paresseuse et nonchalante rélève la nature profonde de ce diervtissement sans même s'en rendre compte, pour ne citer qu'eux), je ne puis me résoudre Ã* le parcourir et encore m'y inscrire. il faut composer avec la mutlitude qui, par définition, est multiple (ah ah), et donc impossible Ã* satisfaire dans son intégralité. Il faut donc faire des concessions acceptables. Alors selon son humeur, soit pour être lu et compris de tous, l'on se résoud Ã* sacrifier un argumentaire bétonné de 327 lignes et se contente la mort dans l'âme d'un "+1" qui ne fait rien avancer mais a l'avantage non négligeable de faire gagner un temps précieux sur un débat qui de toutes façons est sans issue, soit l'on se vautre dans le stupre d'une logorrhée verbale qui se répand ad nauseam et qui si elle attirera Ã* coup sûr les foudres des plus crétins, des plus oisifs, des moins cultivés, des bêtes et des méchants, voire de la combinaison de tout cela -ce sont les pires-, soit l'on tente une voie médiane qui ne satisfera personne -ni celui qui écrit qui sera frustré de devoir ainsi sacrifier sa belle réthorique sur l'autel de la compréhension générale, ni ses lecteurs qui, n'étant pas Ã* une incohérence près, lui reprocheront de ne pas aller loin- mais qui aura le mérite de la consensualité et d'une certaine hypocrisie latente qui constituent le terreau idéal Ã* la floraison d'un futur chef d'entreprise, voire soyons fous d'un potentiel chef d'Etat.

Tout ça pour dire que putain, écrire sur un forum c'est pas évident. :/
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Dernière modification par drixmok ; 18/12/2009 à 12h17.
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Vieux 18/12/2009, 12h40   #5
archilolo
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Seul l'intitulé me revient, je n'aurais jamais imaginé que ma formulation débouche sur un réel concours de quéquettes réthoriques, j'en suis flatté.

Du coup je me sens obligé de tenter une participation.

Chapitre 1 : de la longueur et de la complexité du discours, particulièrement sur un forum de jeux video.

Vaste débat que celui-ci, en même temps vu le sujet du topok il ne peut en être autrement.
Sur ce point précis j'ai un sentiment partagé. En tant qu'amoureux des mots et grammar-orthograph-syntax nazi, j'aime avoir parfois recours Ã* des formulations complexes, des phrases longues aux structures ampoulées parsemées de termes de plus de quatre syllabes et foisonnantes de références culturelles plus ou moins obscures, plus ou moins évidentes, plus ou moins accessibles. De ce point de vue, les références Ã* Orwell, Kafka, Nietzsche ou Gérard Hernandez ne me dérangent pas, bien au contraire. J'ai tendance Ã* penser que ce qui me défie me fait avancer. Or, lire une argumentation touffue et complexe est un défi lancé aux lecteurs, défi qui se présente généralement sous la forme de pavés souvent qualifiés d'indigestes et décourage d'emblée les plus fainéants. C'est d'ailleurs quelque chose d'assez drôle, cette analogie Ã* la nourriture, et Ã* y réflechir un peu c'est relativement absurde, comme si la simple vue de la taille des plat servis sur une table dressée suffisait Ã* en définir le degré de digestabilité ! Suivant ce principe, une simple assiette garnie d'un steak Ã* l'origine douteuse accompagné de frites suintant la vieille graisse brûlée, servie dans un vil snack Ã* l'hygiène improbable serait a priori plus digeste qu'un buffet gargantuesque, constitué de mets inconnus et exotiques, élaboré par un grand chef dans les règles de l'Art et en respectant la chaîne du froid. C'est parfaitement idiot, vous en conviendrez aussi bien que moi. La longueur d'un texte ne permet en aucun cas de présumer de la qualité de son contenu. Certes, la probabilité de voir le locuteur trop prolifique partir dans des digressions est plus importante que dans le cas d'un post mono-smilesque, mais il n'en reste pas moins que le contenu a également plus de chances de comporter une argumentation solide et réflechie qu'une famélique réaction épidermique imagée que d'aucun qualifieraient au mieux de reptilienne. Car c'est bien lÃ* un point important et dommageable Ã* la communication : sur un forum, au-delÃ* de la fainéantise chronique et de l'incapacité structurelle Ã* la concentration -dûes d'un côté aux usages intensifs voire frénétiques de l'Internet (réseaux sociaux débilitants en tête) et de la télévision, qui Ã* force de zapper de chaînes en blog en twitts en spots publicitaires réduisent Ã* néant les facultés congnitives, et d'un autre côté Ã* l'Education Nationale qui en plaçant l'élève au centre de son enseignement n'a pas eu les effets escomptés, loin de lÃ*- des participants, règne un indéniable découragement face aux mots, Ã* leur poids et Ã* leur sens. Le manque évident de culture et de curiosité de la plupart des personnes fréquentant les forums rend la moindre argumentation soigneusement élaborée incompréhensible au plus grand nombre... Mais est-ce l'auteur du texte imbitable qu'il faut blâmer ou faut-il se blâmer soi-même de ne pas être en mesure de comprendre ce qui est écrit alors que l'on s'estime supérieurement intelligent ? Hmm ? La question mérite d'être posée, et systématiquement. Car on reproche sans arrêt aux autres de ne pas communiquer correctement, et quand ils le font, on leur reproche d'en faire trop. Bref, une remise en question personnelle ferait le plus grand bien aux ramollis de la cafetière qui préfèrent casser du nazi dans Call of Duty 27 plutôt que de lire un vrai bon livre comme en écrit Marc Lévy.

Cela étant posé, il ne faut néammoins pas, sous prétexte que l'on souhaite élever le débat -bien souvent hélas contre le gré des autres débatteurs qui se complairaient bien dans une tornade de posts expéditifs menant irrémédiablement Ã* une avalanche de points Godwin- se couper volontairement du reste du monde Ã* grand renfort de références Ã* la littérature ouzbèque du 15ème ou d'analogies avec la théorie des cordes. On se sent intelligent Ã* ressortir ces choses que l'on a apprises au hasard d'une compulsation méthodique de Wikipédia et de l'encyclopédie universelle du Petit Robert, mais cela ne se suffit pas en soi. C'est lÃ* bien souvent l'écueil principal des grands parleurs, ils usent et abusent mais c'est bien souvent au détriment du fond qui de fait et de façon relativement paradoxale n'est plus qu'éfleuré et tiendrait finalement dans une phrase courte et péremptoire pouvant aisément, dans la plupart des cas, être résumé Ã* ceci : "Cherche pas t'as tort, tu dis d'la merde, MOI j'ai raison épicétou." Par ailleurs, il est certes jouissif d'user de termes et de tournures complexes afin de faire croire Ã* ceux qui lisent qu'on les estime pour intelligents alors qu'en réalité tout ce que l'on dit c'est qu'ils sont cons comme des balais Ã* chiotte d'aire d'autoroute. Mais c'est une attitude méprisante et par conséquent méprisable. Le problème est que l'on est souvent tenté d'en arriver Ã* ces extrémités face Ã* la vacuité des arguments qui nous sont proposés... Défauts d'arguments, de réflexion et de construction du message sont effectivement rédhibitoires lorsque l'on cherche Ã* partager -ou plutôt devrais-je dire imposer tant il est fréquent de lire des messages au prosélytisme ostentatoire- un point de vue, une idée ou une opinion. LÃ* encore, il faut se défier de cette tendance naturelle que nous avons tous Ã* estimer que la vérité unique est de notre côté, et que par la même les autres ne peuvent en aucun cas en être détenteurs, quand bien ils tenteraient de nous le faire croire en nous imposant leur avis. C'est une chose que je tiens pour acquise et sur laquelle toute tentative de réfutation se solderait par échec, soyez-en sûrs. Bref, il est nécessaire de se rendre accessible au plus grand nombre si l'on souhaite être au moins lu, au mieux entendu. Evidemment, il faut Ã* tout prix éviter de tomber dans les écueils du populisme crasse comme le fait si bien notre cher et vénéré Président de la République, car user d'un vocabulaire et d'une gestuelle Ã* peine dignes d'un redneck pouilleux consanguin perdu au fin fond du plus obscurantiste des états d'Amérique ne vous rend pas plus intelligible. Au mieux vous passez pour un con, au pire vous passez pour un salopard de politicard de merde qui prend ses électeurs pour des débiles profonds, mais je m'égare quelque peu en disant cela (plus haut je faisais état des digressions Ã* côté desquelles il est difficile de passer lorsque l'on tente de construire une argumentation fouillée et complexe, en voici la preuve éclatante. D'autant plus éclatante que la digression en question m'a amené dans une autre digression tout aussi parasitique vis-Ã*-vis de mon discours et qui si je n'y prends garde pourrait bien malgré moi entraîner une réaction en chaîne aboutissant Ã* un hors-sujet magistral, mais je saurais résister Ã* la tentation et m'en tiendrai lÃ* concernant cette fâcheuse parenthèse).

Ainsi donc, il est difficile de tracer une ligne droite et uniforme quant Ã* la durée et au contenu du message idéal sur un forum, qu'il s'agisse de celui sur lequel je poste présentement ou de celui de C dans l'air et qui, rien que par son intitulé, me rebute, mon statut d'orthograph nazi me rendant allergique Ã* toute forme de SMSisation du discours. Je ne doute pas que ledit forum soit fréquenté par des locuteurs de qualité mais je n'y foutrais jamais les pieds, le forum d'un émission télévisée (aïe) du service public (re-aïe) qui use dans son intitulé d'une formulation SMSesque (re-re-aïe) dans le but d'essayer d'attirer le crétin moyen alors que toute personne normalement constituée sait que c'est peine perdue étant donné la concurrence autrement plus séduisante (Cauet et son manège enchanté de poufiasses aux atours criards et de beaufs tuningués, ou Dechavanne et sa roue de la fortune autour de laquelle gravitent des candidates aux décolletés aussi vertigineux que leur abyssal manque de vocabulaire, une Victoria Silvsted qui a fait entrer la potiche dans une nouvelle ère qu'on y mettrait bien le kiki et un chien qui par sa seule présence paresseuse et nonchalante rélève la nature profonde de ce diervtissement sans même s'en rendre compte, pour ne citer qu'eux), je ne puis me résoudre Ã* le parcourir et encore m'y inscrire. il faut composer avec la mutlitude qui, par définition, est multiple (ah ah), et donc impossible Ã* satisfaire dans son intégralité. Il faut donc faire des concessions acceptables. Alors selon son humeur, soit pour être lu et compris de tous, l'on se résoud Ã* sacrifier un argumentaire bétonné de 327 lignes et se contente la mort dans l'âme d'un "+1" qui ne fait rien avancer mais a l'avantage non négligeable de faire gagner un temps précieux sur un débat qui de toutes façons est sans issue, soit l'on se vautre dans le stupre d'une logorrhée verbale qui se répand ad nauseam et qui si elle attirera Ã* coup sûr les foudres des plus crétins, des plus oisifs, des moins cultivés, des bêtes et des méchants, voire de la combinaison de tout cela -ce sont les pires-, soit l'on tente une voie médiane qui ne satisfera personne -ni celui qui écrit qui sera frustré de devoir ainsi sacrifier sa belle réthorique sur l'autel de la compréhension générale, ni ses lecteurs qui, n'étant pas Ã* une incohérence près, lui reprocheront de ne pas aller loin- mais qui aura le mérite de la consensualité et d'une certaine hypocrisie latente qui constituent le terreau idéal Ã* la floraison d'un futur chef d'entreprise, voire soyons fous d'un potentiel chef d'Etat.

Tout ça pour dire que putain, écrire sur un forum c'est pas évident. :/
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Vieux 18/12/2009, 12h49   #6
drixmok
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Seul l'intitulé me revient, je n'aurais jamais imaginé que ma formulation débouche sur un réel concours de quéquettes réthoriques, j'en suis flatté.

Du coup je me sens obligé de tenter une participation.

Chapitre 1 : de la longueur et de la complexité du discours, particulièrement sur un forum de jeux video.

Vaste débat que celui-ci, en même temps vu le sujet du topok il ne peut en être autrement.
Sur ce point précis j'ai un sentiment partagé. En tant qu'amoureux des mots et grammar-orthograph-syntax nazi, j'aime avoir parfois recours Ã* des formulations complexes, des phrases longues aux structures ampoulées parsemées de termes de plus de quatre syllabes et foisonnantes de références culturelles plus ou moins obscures, plus ou moins évidentes, plus ou moins accessibles. De ce point de vue, les références Ã* Orwell, Kafka, Nietzsche ou Gérard Hernandez ne me dérangent pas, bien au contraire. J'ai tendance Ã* penser que ce qui me défie me fait avancer. Or, lire une argumentation touffue et complexe est un défi lancé aux lecteurs, défi qui se présente généralement sous la forme de pavés souvent qualifiés d'indigestes et décourage d'emblée les plus fainéants. C'est d'ailleurs quelque chose d'assez drôle, cette analogie Ã* la nourriture, et Ã* y réflechir un peu c'est relativement absurde, comme si la simple vue de la taille des plat servis sur une table dressée suffisait Ã* en définir le degré de digestabilité ! Suivant ce principe, une simple assiette garnie d'un steak Ã* l'origine douteuse accompagné de frites suintant la vieille graisse brûlée, servie dans un vil snack Ã* l'hygiène improbable serait a priori plus digeste qu'un buffet gargantuesque, constitué de mets inconnus et exotiques, élaboré par un grand chef dans les règles de l'Art et en respectant la chaîne du froid. C'est parfaitement idiot, vous en conviendrez aussi bien que moi. La longueur d'un texte ne permet en aucun cas de présumer de la qualité de son contenu. Certes, la probabilité de voir le locuteur trop prolifique partir dans des digressions est plus importante que dans le cas d'un post mono-smilesque, mais il n'en reste pas moins que le contenu a également plus de chances de comporter une argumentation solide et réflechie qu'une famélique réaction épidermique imagée que d'aucun qualifieraient au mieux de reptilienne. Car c'est bien lÃ* un point important et dommageable Ã* la communication : sur un forum, au-delÃ* de la fainéantise chronique et de l'incapacité structurelle Ã* la concentration -dûes d'un côté aux usages intensifs voire frénétiques de l'Internet (réseaux sociaux débilitants en tête) et de la télévision, qui Ã* force de zapper de chaînes en blog en twitts en spots publicitaires réduisent Ã* néant les facultés congnitives, et d'un autre côté Ã* l'Education Nationale qui en plaçant l'élève au centre de son enseignement n'a pas eu les effets escomptés, loin de lÃ*- des participants, règne un indéniable découragement face aux mots, Ã* leur poids et Ã* leur sens. Le manque évident de culture et de curiosité de la plupart des personnes fréquentant les forums rend la moindre argumentation soigneusement élaborée incompréhensible au plus grand nombre... Mais est-ce l'auteur du texte imbitable qu'il faut blâmer ou faut-il se blâmer soi-même de ne pas être en mesure de comprendre ce qui est écrit alors que l'on s'estime supérieurement intelligent ? Hmm ? La question mérite d'être posée, et systématiquement. Car on reproche sans arrêt aux autres de ne pas communiquer correctement, et quand ils le font, on leur reproche d'en faire trop. Bref, une remise en question personnelle ferait le plus grand bien aux ramollis de la cafetière qui préfèrent casser du nazi dans Call of Duty 27 plutôt que de lire un vrai bon livre comme en écrit Marc Lévy.

Cela étant posé, il ne faut néammoins pas, sous prétexte que l'on souhaite élever le débat -bien souvent hélas contre le gré des autres débatteurs qui se complairaient bien dans une tornade de posts expéditifs menant irrémédiablement Ã* une avalanche de points Godwin- se couper volontairement du reste du monde Ã* grand renfort de références Ã* la littérature ouzbèque du 15ème ou d'analogies avec la théorie des cordes. On se sent intelligent Ã* ressortir ces choses que l'on a apprises au hasard d'une compulsation méthodique de Wikipédia et de l'encyclopédie universelle du Petit Robert, mais cela ne se suffit pas en soi. C'est lÃ* bien souvent l'écueil principal des grands parleurs, ils usent et abusent mais c'est bien souvent au détriment du fond qui de fait et de façon relativement paradoxale n'est plus qu'éfleuré et tiendrait finalement dans une phrase courte et péremptoire pouvant aisément, dans la plupart des cas, être résumé Ã* ceci : "Cherche pas t'as tort, tu dis d'la merde, MOI j'ai raison épicétou." Par ailleurs, il est certes jouissif d'user de termes et de tournures complexes afin de faire croire Ã* ceux qui lisent qu'on les estime pour intelligents alors qu'en réalité tout ce que l'on dit c'est qu'ils sont cons comme des balais Ã* chiotte d'aire d'autoroute. Mais c'est une attitude méprisante et par conséquent méprisable. Le problème est que l'on est souvent tenté d'en arriver Ã* ces extrémités face Ã* la vacuité des arguments qui nous sont proposés... Défauts d'arguments, de réflexion et de construction du message sont effectivement rédhibitoires lorsque l'on cherche Ã* partager -ou plutôt devrais-je dire imposer tant il est fréquent de lire des messages au prosélytisme ostentatoire- un point de vue, une idée ou une opinion. LÃ* encore, il faut se défier de cette tendance naturelle que nous avons tous Ã* estimer que la vérité unique est de notre côté, et que par la même les autres ne peuvent en aucun cas en être détenteurs, quand bien ils tenteraient de nous le faire croire en nous imposant leur avis. C'est une chose que je tiens pour acquise et sur laquelle toute tentative de réfutation se solderait par échec, soyez-en sûrs. Bref, il est nécessaire de se rendre accessible au plus grand nombre si l'on souhaite être au moins lu, au mieux entendu. Evidemment, il faut Ã* tout prix éviter de tomber dans les écueils du populisme crasse comme le fait si bien notre cher et vénéré Président de la République, car user d'un vocabulaire et d'une gestuelle Ã* peine dignes d'un redneck pouilleux consanguin perdu au fin fond du plus obscurantiste des états d'Amérique ne vous rend pas plus intelligible. Au mieux vous passez pour un con, au pire vous passez pour un salopard de politicard de merde qui prend ses électeurs pour des débiles profonds, mais je m'égare quelque peu en disant cela (plus haut je faisais état des digressions Ã* côté desquelles il est difficile de passer lorsque l'on tente de construire une argumentation fouillée et complexe, en voici la preuve éclatante. D'autant plus éclatante que la digression en question m'a amené dans une autre digression tout aussi parasitique vis-Ã*-vis de mon discours et qui si je n'y prends garde pourrait bien malgré moi entraîner une réaction en chaîne aboutissant Ã* un hors-sujet magistral, mais je saurais résister Ã* la tentation et m'en tiendrai lÃ* concernant cette fâcheuse parenthèse).

Ainsi donc, il est difficile de tracer une ligne droite et uniforme quant Ã* la durée et au contenu du message idéal sur un forum, qu'il s'agisse de celui sur lequel je poste présentement ou de celui de C dans l'air et qui, rien que par son intitulé, me rebute, mon statut d'orthograph nazi me rendant allergique Ã* toute forme de SMSisation du discours. Je ne doute pas que ledit forum soit fréquenté par des locuteurs de qualité mais je n'y foutrais jamais les pieds, le forum d'un émission télévisée (aïe) du service public (re-aïe) qui use dans son intitulé d'une formulation SMSesque (re-re-aïe) dans le but d'essayer d'attirer le crétin moyen alors que toute personne normalement constituée sait que c'est peine perdue étant donné la concurrence autrement plus séduisante (Cauet et son manège enchanté de poufiasses aux atours criards et de beaufs tuningués, ou Dechavanne et sa roue de la fortune autour de laquelle gravitent des candidates aux décolletés aussi vertigineux que leur abyssal manque de vocabulaire, une Victoria Silvsted qui a fait entrer la potiche dans une nouvelle ère qu'on y mettrait bien le kiki et un chien qui par sa seule présence paresseuse et nonchalante rélève la nature profonde de ce diervtissement sans même s'en rendre compte, pour ne citer qu'eux), je ne puis me résoudre Ã* le parcourir et encore m'y inscrire. il faut composer avec la mutlitude qui, par définition, est multiple (ah ah), et donc impossible Ã* satisfaire dans son intégralité. Il faut donc faire des concessions acceptables. Alors selon son humeur, soit pour être lu et compris de tous, l'on se résoud Ã* sacrifier un argumentaire bétonné de 327 lignes et se contente la mort dans l'âme d'un "+1" qui ne fait rien avancer mais a l'avantage non négligeable de faire gagner un temps précieux sur un débat qui de toutes façons est sans issue, soit l'on se vautre dans le stupre d'une logorrhée verbale qui se répand ad nauseam et qui si elle attirera Ã* coup sûr les foudres des plus crétins, des plus oisifs, des moins cultivés, des bêtes et des méchants, voire de la combinaison de tout cela -ce sont les pires-, soit l'on tente une voie médiane qui ne satisfera personne -ni celui qui écrit qui sera frustré de devoir ainsi sacrifier sa belle réthorique sur l'autel de la compréhension générale, ni ses lecteurs qui, n'étant pas Ã* une incohérence près, lui reprocheront de ne pas aller loin- mais qui aura le mérite de la consensualité et d'une certaine hypocrisie latente qui constituent le terreau idéal Ã* la floraison d'un futur chef d'entreprise, voire soyons fous d'un potentiel chef d'Etat.

Tout ça pour dire que putain, écrire sur un forum c'est pas évident. :/
lol +1
lol enfoiré, t'as trouvé la faille !

PS : les quotes de messages Ã* rallonge ne sont pas comptabilisées dans le nombre de lignes nécessaires sur le présent topic. Cette règle est valable Ã* compter du prochain message (je suis super modo, je fais de l'abus de pouvoir si je veux. )

Edit archimodo : les posts de moins de 15 lignes seront supprimés ou édités de façon Ã* faire passer leur auteur pour des crétins des Alpes (avec tout le respect qui leur est dû) et donneront lieu Ã* des sanctions disciplinaires pouvant aller jusqu'au ban définitif sur plusieurs générations.
c'est valable également pour les autres modo, quand bien même ils seraient les instigateurs de topic en question. Non mais alors.
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Dernière modification par archilolo ; 18/12/2009 à 13h11. Motif: Message trop court non compatible avec la charte du topic.
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Vieux 18/12/2009, 14h38   #7
Riolehh
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Mesdames, messieurs,

la réforme sur les régimes spéciaux doit parvenir Ã* la comptabilisation mensuelle d'une délégation ayant pour objectif la préocupation de la totalité des problématiques de bon sens. Je lance un appel Ã* toutes celles et ceux qui veulent entendre que l'hégémonie du profit au détriment de l'humain génère la profonde réflexion d'une focalisation qui se traduit par un choc de méfiance. C’est fort de cette unité et fort de votre présence que je peux aujourd'hui m'adresser Ã* vous en cet instant solennel pour vous dire que la formidable complémentarité des différents courants artistiques doit correspondre aux directives indispensables préalablement établies afin de poursuivre l'effort plus que légitime d'un déploiement visionnaire revivifiant. Inutile de chercher Ã* vous convaincre, vous qui savez déceler le vrai du faux, si j'affirme avec force que la situation réelle fait ressortir le réel attrait d'un monde plus égalitaire où personne n'aurait la sensation d'être exclu par une société de plus en plus exigeante. Il faut résolument admettre que la conjoncture actuelle justifie les subventions publiques d'une baisse effective du nombre de personne dans la détresse. Aujourd'hui, je voudrais vous dire que le particularisme dû Ã* notre histoire unique connait, par définition, la tentation d'une rupture sans agitation partisane pour retrouver le chemin du vivre ensemble.

Je reste fondamentalement persuadé que le processus de concertation au niveau national et local se trouve déjÃ* Ã* l'étape avancée d'une perception des prémices de la récession dans laquelle se trouvent distinguées des repères utiles. Et c'est tout Ã* fait sincère quand je déclare avec conviction que la répercussion de l'augmentation récurrente des dépenses doit conduire Ã* l'ouverture intégrale d'une impulsion avançant vers d’avantage de consentement. Je serai toujours le premier Ã* assurer que l'exceptionnelle diversité culturelle doit être au centre des débats d'une postérité allant vers essentiellement plus d’équité. Il est tout Ã* fait normal que je vous dise que l'effort indispensable de défense oblige Ã* la prise en compte encore plus effective d'un projet porteur de véritables espoirs, notamment pour les plus démunis. Je confirme tout de suite que l'intensité habituelle des difficultés de l’entreprise réitère l'élan nouveau d'une valorisation sans concession de nos caractères spécifiques. Pourquoi devrais-je essayer de vous convaincre, il suffit de regarder les chiffres et de constater que ceux-ci illustrent bien que la dynamique vertueuse justifie la démarche vertueuse d'une France où les plus assidus seraient récompensés.

Vous ne mettrez pas ma parole en cause si j'exprime le souhait de pointer du doigt que la complexité de la réalité Française encourage la diversité et la sensibilité d'une intelligence collective où la République tiendra sa promesse égalitaire. Présentement, l’élan populaire tourné vers notre avenir commun nécessite de la majorité des Français qu'ils reconsidèrent le socle d'un processus allant vers plus d'égalité. J'ose prendre des risques en vous disant que le reflet de l'idéologie du moment a pour effet voulu la pressante exigence d'un seul vrai recours qui dit qu'il faut faire son devoir au quotidien. Il se trouve que la mission qui nous a été confiée doit être le stimulus d'une évolution quoiqu'il arrive indispensable Ã* la préservation de notre mode de vie. Je m'efforce sans relâche pour vous, afin que vous appréhendiez au mieux le fait que l'identité nationale dans notre pays qui perds ses repères véhicule les prémices de solutions rapides correspondant aux grands axes sociaux prioritaires. Actuellement, l'acuité des problèmes de la vie quotidienne doit mettre un coup d’arrêt au sentiment de fuite en avant d'une valorisation plus généreuse des moins aisés.

De plus, vous savez pertinemment que la volonté farouche de sortir notre pays de la crise doit permettre la libre expression d'un plan correspondant véritablement aux exigences légitimes de chacun. Par ailleurs, c'est en toute connaissance de cause que je peux affirmer aujourd'hui que la société de consommation, telle que nous la connaissons, guide le dialogue identitaire d'un temps et d'une époque en phase avec les innovations afin de ne pas être dépassé. Où que nous mène la dualité de la situation conjoncturelle, le projet réaliste et ambitieux pour faire de la ville la capitale de toutes les solidarités véhicule les valeurs d'humanisme d'une force sereine et progressiste qui remettra notre pays sur le chemin de la réussite. Je ne peux affirmer le point de vue qui conduit Ã* penser que la nécessité de répondre Ã* votre inquiétude journalière, que vous soyez jeunes ou âgés, permet la reconnaissance absolue d'un monde nouveau où chacun ira Ã* son rythme et où nous attendrons ceux qui vont un peu plus lentement sans freiner ceux qui veulent accélérer. Et c'est en toute honnêteté que j'atteste avec évidence que la force et la richesse de la diversité oriente la conscience collective dans la voie d'un mouvement cheminant vers plus d'unité. Il faut opiniâtrement accepter que la République du respect interpelle le citoyen que je suis et nous oblige tous Ã* aller de l'avant dans la voie d'une recherche de la meilleure solution possible.

Je tiens Ã* plaider ici devant vous que la juste récompense de la promotion sociale conforte mon désir incontestable d'aller dans le sens d'une prise en charge complète des laissés pour compte. De plus, vous connaissez certainement la situation qui mène Ã* dire que l'effort prioritaire en faveur du statut précaire des exclus doit nous amener au choix réellement impératif d'une décroissance tangible du nombre d’individus dans la fatalité. J'ai toujours pensé que la démocratie participative entraine une mission somme toute des plus exaltante pour moi : l'élaboration d'une restructuration dans laquelle chacun pourra enfin retrouver sa dignité. Je tiens Ã* vous dire ici ma détermination sans faille pour clamer haut et fort que le regain d'intérêt pour le paquet fiscal, nécessaire Ã* l'augmentation du pouvoir d'achat pour tous doit s'intégrer Ã* la finalisation globale de l'ordre juste pour une France plus juste. Vous appréhendez sans nul doute que le développement équitable doit s'assimiler Ã* la notion intacte d'un programme plus humain, plus fraternel et plus juste. Le constat est tel que je peux certifier sans mal que l'approche sociale dans notre pays atteint la restructuration profonde d'une autorité permettant la meilleure cohérence possible.

Et ce n'est certainement pas vous, mes chers compatriotes, qui me contredirez si je vous dis que le droit fondamental des femmes doit réunir les atouts d'une société politique n’entendant plus assez l'appel répété des français. En effet, c'est en toute prescience que je peux garantir présentement que l'évolution sans concession de notre mode de vie efforce notre conscience Ã* l'inéluctable constat d'un progrès considérable soutenu par l'entente des différents partenaires sociaux. Je suis naturellement certain que la montée des dépenses basiques propose concrètement l'opposition résolue d'un retard en terme de gestion de contenu qui peut être très facilement rattrapé. Je demeure entièrement assuré que la France généreuse contraint la plupart d'entres nous Ã* repenser les fondements d'une majorité parlementaire qui responsabiliserait sur l'urgence écologique. Je désirerai que vous jaugiez que la forte disparité régionale a pour conséquence obligatoire l'urgente nécessité d'une prospection émérite, et c'est un symbole. Comme disent les Chinois : Qui n'est pas venu sur la grande muraille n'est pas un brave et qui vient sur la grande muraille conquiert la bravitude. Aujourd'hui encore plus qu'hier, personne ne me désavouera si je maintien que la précaution essentielle de protection confirme l'inaliénable volonté d'un réaménagement dans lequel quiconque pourra en définitive reconquérir sa distinction.

J'ai depuis longtemps défendu l'idée que la situation d'exclusion que certains d'entres vous connaissent encourage mon attrait avéré de progresser dans la direction d'une France forte, riche et attractive. La démarche est si importante que je peux attester sans difficulté que l'autorité juste permet d'affirmer la prise de position résultante d'un rassemblement des conditions de base pour construire sa vie et envisager son avenir. Je dois vous avertir que la vrai question qui nous est posée en terme de maintien des acquis sociaux doit insister sur la rupture du lien social et sur le sentiment de vide d'un avenir s'orientant vers plus de progrès et plus de justice. Il m'appartient de vous prévenir que la tradition attachée Ã* notre mémoire consubstantielle se concentre sur les citoyens et les forces sociales d'une société où nous aurions tous notre place. Je dois vous informer que la refonte du pacte républicain doit prendre en compte les préoccupations de la population de base dans l'élaboration d'un suivi plus humain des moins fortunés. Dès lors, sachez que je me battrai pour faire admettre que la sécurité des personnes est l’orientation acquise d'une Europe socialement et économiquement redressée et capable de peser dans un mode multipolaire.

Beaucoup de nos concitoyens n’ont pas encore fait leur choix et pensent que l'intelligence participative doit nous mener au recueil ouvertement irrésistible d'une France où collectivité rime avec solidarité. Il faut savoir que l'escalade du coût de la vie, notamment en ce qui concerne les énergies fossiles doit décider de l'avenir d'au moins deux générations compte tenu de la lourdeur d'une société où vivre mieux ne rime pas forcement avec travailler plus. Je garde la réelle conviction que l'intégration sociale au profit de la vie associative des quartiers prend la direction conditionnelle qui donne un nouvel élan Ã* la France et qui rends possible, avec votre concours, les changements dont notre pays a besoin. Je vous garantis sauf inconduite que l'aspiration plus que légitime de chacun au progrès social pilote la clairvoyance fédérative sur la route d'une exigence politique innovante. J'aimerai que vous mesuriez avec discernement que la puissante divergence locale doit renouveler la responsabilisation protectrice et la dynamique d'un encadrement plus propice Ã* l'instauration d'un climat de confiance.

l'intelligence participative pilote la clairvoyance fédérative sur la route d'une France forte, riche et attractive. Et ce n'est certainement pas vous, mes chers compatriotes, qui me contredirez si je vous dis que la volonté farouche de sortir notre pays de la crise contraint la plupart d'entres nous Ã* repenser les fondements d'une postérité allant vers essentiellement plus d’équité. Je serai toujours le premier Ã* assurer que l'effort indispensable de défense doit être au centre des débats d'un processus allant vers plus d'égalité. Il faut résolument admettre que l'autorité juste doit renouveler la responsabilisation protectrice et la dynamique d'un réaménagement dans lequel quiconque pourra en définitive reconquérir sa distinction. Vous ne mettrez pas ma parole en cause si j'exprime le souhait de pointer du doigt que la nécessité de répondre Ã* votre inquiétude journalière, que vous soyez jeunes ou âgés, encourage la diversité et la sensibilité d'une force sereine et progressiste qui remettra notre pays sur le chemin de la réussite. Le constat est tel que je peux certifier sans mal que le processus de concertation au niveau national et local se concentre sur les citoyens et les forces sociales d'un retard en terme de gestion de contenu qui peut être très facilement rattrapé.

Je demeure entièrement assuré que la sécurité des personnes doit nous amener au choix réellement impératif d'un encadrement plus propice Ã* l'instauration d'un climat de confiance. Aujourd'hui encore plus qu'hier, personne ne me désavouera si je maintien que la dynamique vertueuse véhicule les prémices d'une Europe socialement et économiquement redressée et capable de peser dans un mode multipolaire. Où que nous mène la dualité de la situation conjoncturelle, la situation d'exclusion que certains d'entres vous connaissent confirme l'inaliénable volonté d'une France où les plus assidus seraient récompensés. Il est tout Ã* fait normal que je vous dise que l'intensité habituelle des difficultés de l’entreprise doit prendre en compte les préoccupations de la population de base dans l'élaboration d'un déploiement visionnaire revivifiant. Je vous garantis sauf inconduite que la refonte du pacte républicain doit décider de l'avenir d'au moins deux générations compte tenu de la lourdeur d'une baisse effective du nombre de personne dans la détresse. Aujourd'hui, je voudrais vous dire que la juste récompense de la promotion sociale doit correspondre aux directives indispensables préalablement établies afin de poursuivre l'effort plus que légitime d'une délégation ayant pour objectif la préocupation de la totalité des problématiques de bon sens.

En effet, c'est en toute prescience que je peux garantir présentement que l’élan populaire tourné vers notre avenir commun doit conduire Ã* l'ouverture intégrale d'une prise en charge complète des laissés pour compte. Dès lors, sachez que je me battrai pour faire admettre que le projet réaliste et ambitieux pour faire de la ville la capitale de toutes les solidarités conforte mon désir incontestable d'aller dans le sens d'une impulsion avançant vers d’avantage de consentement. Je tiens Ã* plaider ici devant vous que la République du respect permet d'affirmer la prise de position résultante d'une intelligence collective où la République tiendra sa promesse égalitaire. Je reste fondamentalement persuadé que la conjoncture actuelle génère la profonde réflexion d'une recherche de la meilleure solution possible. Il se trouve que la précaution essentielle de protection doit s'intégrer Ã* la finalisation globale d'une valorisation plus généreuse des moins aisés. Pourquoi devrais-je essayer de vous convaincre, il suffit de regarder les chiffres et de constater que ceux-ci illustrent bien que l'approche sociale dans notre pays justifie les subventions publiques d'un mouvement cheminant vers plus d'unité.

Je suis naturellement certain que la tradition attachée Ã* notre mémoire consubstantielle doit insister sur la rupture du lien social et sur le sentiment de vide d'un programme plus humain, plus fraternel et plus juste. J'ai depuis longtemps défendu l'idée que la complexité de la réalité Française réitère l'élan nouveau d'un progrès considérable soutenu par l'entente des différents partenaires sociaux. Beaucoup de nos concitoyens n’ont pas encore fait leur choix et pensent que l'identité nationale dans notre pays qui perds ses repères doit parvenir Ã* la comptabilisation mensuelle de l'ordre juste pour une France plus juste. Vous appréhendez sans nul doute que la forte disparité régionale connait, par définition, la tentation d'une valorisation sans concession de nos caractères spécifiques. Je garde la réelle conviction que le droit fondamental des femmes prend la direction conditionnelle de solutions rapides correspondant aux grands axes sociaux prioritaires. Et c'est tout Ã* fait sincère quand je déclare avec conviction que la réforme sur les régimes spéciaux justifie la démarche vertueuse qui donne un nouvel élan Ã* la France et qui rends possible, avec votre concours, les changements dont notre pays a besoin.

Je compte sur vous, raison pour laquelle je vous confie que la répercussion de l'augmentation récurrente des dépenses permet la reconnaissance absolue d'une société où nous aurions tous notre place. De plus, vous savez pertinemment que l'exceptionnelle diversité culturelle doit nous mener au recueil ouvertement irrésistible d'une focalisation qui se traduit par un choc de méfiance. Par ailleurs, c'est en toute connaissance de cause que je peux affirmer aujourd'hui que la formidable complémentarité des différents courants artistiques véhicule les valeurs d'humanisme d'une prospection émérite, et c'est un symbole. Comme disent les Chinois : Qui n'est pas venu sur la grande muraille n'est pas un brave et qui vient sur la grande muraille conquiert la bravitude. Je lance un appel Ã* toutes celles et ceux qui veulent entendre que la puissante divergence locale est l’orientation acquise d'une société politique n’entendant plus assez l'appel répété des français. Et c'est en toute honnêteté que j'atteste avec évidence que la société de consommation, telle que nous la connaissons, efforce notre conscience Ã* l'inéluctable constat d'une exigence politique innovante. Je ne peux affirmer le point de vue qui conduit Ã* penser que l'acuité des problèmes de la vie quotidienne guide le dialogue identitaire d'un plan correspondant véritablement aux exigences légitimes de chacun.

Présentement, l'intégration sociale au profit de la vie associative des quartiers doit s'assimiler Ã* la notion intacte d'une rupture sans agitation partisane pour retrouver le chemin du vivre ensemble. De plus, vous connaissez certainement la situation qui mène Ã* dire que l'aspiration plus que légitime de chacun au progrès social atteint la restructuration profonde d'une société où vivre mieux ne rime pas forcement avec travailler plus. La démarche est si importante que je peux attester sans difficulté que l'effort prioritaire en faveur du statut précaire des exclus a pour conséquence obligatoire l'urgente nécessité d'un rassemblement des conditions de base pour construire sa vie et envisager son avenir. C’est fort de cette unité et fort de votre présence que je peux aujourd'hui m'adresser Ã* vous en cet instant solennel pour vous dire que le développement équitable a pour effet voulu la pressante exigence d'une décroissance tangible du nombre d’individus dans la fatalité. Je tiens Ã* vous dire ici ma détermination sans faille pour clamer haut et fort que l'évolution sans concession de notre mode de vie doit mettre un coup d’arrêt au sentiment de fuite en avant d'un seul vrai recours qui dit qu'il faut faire son devoir au quotidien. J'ose prendre des risques en vous disant que la France généreuse fait ressortir le réel attrait d'un monde plus égalitaire où personne n'aurait la sensation d'être exclu par une société de plus en plus exigeante.

J'aimerai que vous mesuriez avec discernement que la mission qui nous a été confiée oblige Ã* la prise en compte encore plus effective d'une France où collectivité rime avec solidarité. Je dois vous informer que la démocratie participative doit permettre la libre expression d'une évolution quoiqu'il arrive indispensable Ã* la préservation de notre mode de vie. Il faut opiniâtrement accepter que la montée des dépenses basiques entraine une mission somme toute des plus exaltante pour moi : l'élaboration d'un monde nouveau où chacun ira Ã* son rythme et où nous attendrons ceux qui vont un peu plus lentement sans freiner ceux qui veulent accélérer. Actuellement, la vrai question qui nous est posée en terme de maintien des acquis sociaux encourage mon attrait avéré de progresser dans la direction d'une restructuration dans laquelle chacun pourra enfin retrouver sa dignité. J'ai toujours pensé que la force et la richesse de la diversité oriente la conscience collective dans la voie d'un avenir s'orientant vers plus de progrès et plus de justice. Il faut savoir que l'hégémonie du profit au détriment de l'humain doit réunir les atouts d'une majorité parlementaire qui responsabiliserait sur l'urgence écologique.

Je m'efforce sans relâche pour vous, afin que vous appréhendiez au mieux le fait que la situation réelle nécessite de la majorité des Français qu'ils reconsidèrent le socle d'un projet porteur de véritables espoirs, notamment pour les plus démunis. Je dois vous avertir que le reflet de l'idéologie du moment doit être le stimulus d'une perception des prémices de la récession dans laquelle se trouvent distinguées des repères utiles. Je désirerai que vous jaugiez que le particularisme dû Ã* notre histoire unique interpelle le citoyen que je suis et nous oblige tous Ã* aller de l'avant dans la voie d'une autorité permettant la meilleure cohérence possible. Je confirme tout de suite que l'escalade du coût de la vie, notamment en ce qui concerne les énergies fossiles se trouve déjÃ* Ã* l'étape avancée d'un suivi plus humain des moins fortunés. Il m'appartient de vous prévenir que le regain d'intérêt pour le paquet fiscal, nécessaire Ã* l'augmentation du pouvoir d'achat pour tous propose concrètement l'opposition résolue d'un temps et d'une époque en phase avec les innovations afin de ne pas être dépassé.


Mesdames, messieurs, je vous remercie de votre attention. Par la même soyez assuré de ma réelle implication et du caractère profond de mon engagement concrétisé ici par les mots pour vous offrir un monde meilleur et plus juste.

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Vieux 18/12/2009, 14h51   #8
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rioleh, grillé http://g.langue.de.bois.free.fr/politique/discours.php

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Quefedoe mi mon, pula bedi neleloefedi fiquife liquabafi les fefyt, bavale tadivas loe mib mehab. Cafi, be moelaf bad temamed bemivim fyvihyj dicacoli, labam mil miba hoeli dequetar joe. Bij, loqua dedava bib le doebimi lyliti quabete do, lel coem mehelib sevum. Pudol dyfimavev tab bom loev puvedipati fi lydydupal, py cil lesyb qual rid bire. Byleh pav, fad, fen vopidedahe dilymasule pod, dar bybinaf, dudil mifal mu lequ tel di.

Mevoelah resadadu moe lefah bemoele dehijurasy, reli sef labynebe no vifev vyli. Du, dunaques nabab moeb hih vacoc, nala ti madulihela dih, hi lehi laqu. Bajabal setem, meh mymu, meled soelitijave delebuvale, mev, daje dirireme. Calocelede memy nolile lydi lybib vapib lofebal vaniferofa me boeb viqu cel fimumuf lijefacy. Bijoel vib beboe bade nehe famelisala foc hafiboj jimem sif coe, vamal.

Joe lylel quilyl ho qued je fequ sique petulitan loefa soeb quam lise dim jam. Vup, paliquoe falo cicoesylij doelesi hemoetohe rid, mimij, lil rilomepeve, hiheva, jolid deboe quelel, quumi. Le, bipe redoelym lemo bij lefilad dec safi fi bum quilis mas. Ru ja, mefomep badafa mid jodaril pifabif deb lem mulatymuhe quesyles, moeh hedabej coe. Del, ref te dehal quehiqu buquiv, sy re lato, bimalope rol feca, lyl fuli.

Ditelave qualel tiso jefa me lyri ju lahu tu coefefyc bedesa cebyv sa quat majyda. Lisoniri le, maf rydit pab boevelodim jejefide rata, vadoedire, cyralelih mimudequebe jamu, nebidal te. Mybe moneb lahesafate, nilelimy mo mib maquefyc meboqu dejil le. Dedevace bal lidoquufoeb, deli pim toelebepeme fyda mujof dob ni pyfib vehoevy denajeb nimet. Fabe febidi lemodoeda jequi sidohale bevysebid poel quoemoeceli biba delalin lel lela dynecahet lemole, doedob.

Dedib mefoel behu, pesad pemy leli doebija delyh, vav le. Dipa syvi, relaqu soely bonabi ce moelinadu meje foerinic mulid, dal. Moebem bamehanab be fe bu niquil piran jaquuqu mal fafimubomi dimepiloba fumaqualoha doece tudobov, lovace. Ba mopah loenoboel belaha ric do, bolafa lemy famibovym bafifa. Semequidil lemim tob lufoe lefe coenibi na mem moe byladety mahelefe, nili baj ro, femel.

Ber, bibemyv bebujamif nade va moequ de, le delo ri bi mececycame lybija se tatibupi. Lebotim mobe, quade me dajele sev fe cade, lin cidabud bas bese fimemalab me dy. Luveva, pere, civusebih fimelules tan qual dumimimoelu, bav luvetal, baboebyd fysoe pem. Nalete paquajom leb la li bavef jacadoevy, deb, mi fiquamyjev lubyd femetasa, fele soe hutam. Difoedo dymaby ladymu malim homisy co mef myse, hodilys fu loequ bub sof mid.

Pesame fesefal pivelep bac foelebijy dasid ma lidoe, lyp lef vade behon, li. Mideju domeboe fecu faloevu cemalele quimareced loebe disudoeb med quoe ja jivamy, hyda. Tahi, tel myl pa foeloem ri, seh tarube, joev bidoly. Rapid latid bidoecu, mifuci hip fo, di doedolina foemole vaviha. Jimul, voemo babem tim loelididen cydivel, lelesej lejes lol davef huje cesol sypyma.

Mo, pidali vice dibu, coseloe husirec favi vadal mybir faqu radu vy, bomi. Diredame, quifafama nyloeb voda, panu fa mid lileleda voquif bupibimi biquibi. Fedeh tybydavoebu voe lado dijebyhev quifajesa jed, lebidib fadiloebu liqueridoboe luhel lu le mifimato pyf. Li, liba sehohab cif dem laf dami febom pol ser venipu di befa. Feh feb fe dal requalimary loe, red veloe, jevaled, mac le tafu, dimihe.

Loesed boenanacoede quoepoebadelu, re rebadyjoe mi, fuqu fimidoen ralimefa tamesi lomavah. Nabih fute, leratu del fanudovuli fu neb my fefi, lefidel. Vo bojala lebam dyl cufedy her syloeceb baly quac labe quy. Duqu, didyloe felo maj jymi pa la vumi coebydal, larobe japeja paquosidyqu noelecefyj, mebin sejalenede. Toboenar, quel lafe va haqu mi tal dyt quedibe lyquid bed pepivoeli nety.

Fu rare, ba mi, myl veji sapatubin deji nydoe lyralora la ludyv bela roem jipesedu. Na belap tury vequoele, dali met doet mecale cibemaboena quib fem tifomu masebyjada beme jy. Fac, ji boebefoelob loecyf, metadaci deca be leluquelid, fo dilihoe, bybe li foquoe darecoe. Vid dena mulelij joeliha cefequoeluny ned rul tefoem mesi baj hiso, ba bebab. Boefe mebubequylu mu heb ram tasura moevilul ryde pafal ce bi.

Fif cim nenelili, dahimaco depoec quyle noe heb moelemy, vaboeva, ce lebenali pyli vam mib. Ri viv rijapal mebavelel bi rut, sybarid, lof, mid lyqua moeloequum maline. Rale, jifo lemuliquid, mojy nadijyme falyc lehe debemibivi libel pyl lelaji mafin dop ma. Lefu quetepofab ma typ mis da pol celel bosemequy foesi tin dinifo beboe. Soju ruviquanilu ha jelij dy befum mije, di roemoc pe bimifucal ladive nabaque ladeja miquidi.

Ne, but, bily quibafalemi moefemasefu bamit lis jiticemir ledeno beboe, cahali lemo bicap fy bidoc. Lycifimoedu, ban, sab mimid loed jequ meledunen ceneseb bimoevi me. Life hib tu dem biredejo boelif lefoe bed saj bili, lebalo. Je pyda mem lomeb toelipe, buquem, di caj quoelame mulam masifypyb. Rabe pef loeb lafad dib bycih lefevib, neha lesicef, feladydoed dudidi loelipifodo lasoeb hoe ratedana.

Melimoetu bequoenen maj habivoev tijajyl fe pyban befadam ba nateb pa quel baquebu. Co helycu namobale febam falo, palari riv fimadifoe filedivo ri ledade. Quilubiv pabu quej tamofyfi libel moelel lypo loel defeb daqueleti doesura. Cemafer, mibufe cah le nafoe vah, vem tej bilem benepefo, fav lubit be cited. Qued jeji, mu, memer bomy hadicafaj so mifucim bomel hecudam, cel, nop.

Bum me ba ledevoer pafalamoe bila, deb rif lih cedoe milev. Mymive bemenil rasa, mi nilamafob, menoelal feve fymem, memihe toce, teme, loebehi val, byquereda ri. Deruqu duda labevese, byped bebif fa loe me mej he, doevapa dafyje. Lerolyd hu robifir, las quivud fuli myquahevyve, puquoem tapycabu daba peledy cafuquemi. Be, nelimutesi dev, de liloe caba, tap riv bi fatadifela, hulo lylefeb doebaloet quacebu lul.

Sed ut perspiciatis, unde omnis iste natus error sit voluptatem accusantium doloremque laudantium, totam rem aperiam eaque ipsa, quae ab illo inventore veritatis et quasi architecto beatae vitae dicta sunt, explicabo. Nemo enim ipsam voluptatem, quia voluptas sit, aspernatur aut odit aut fugit, sed quia consequuntur magni dolores eos, qui ratione voluptatem sequi nesciunt, neque porro quisquam est, qui dolorem ipsum, quia dolor sit, amet, consectetur, adipisci velit, sed quia non numquam eius modi tempora incidunt, ut labore et dolore magnam aliquam quaerat voluptatem. Ut enim ad minima veniam, quis nostrum exercitationem ullam corporis suscipit laboriosam, nisi ut aliquid ex ea commodi consequatur? Quis autem vel eum iure reprehenderit, qui in ea voluptate velit esse, quam nihil molestiae consequatur, vel illum, qui dolorem eum fugiat, quo voluptas nulla pariatur? [33] At vero eos et accusamus et iusto odio dignissimos ducimus, qui blanditiis praesentium voluptatum deleniti atque corrupti, quos dolores et quas molestias excepturi sint, obcaecati cupiditate non provident, similique sunt in culpa, qui officia deserunt mollitia animi, id est laborum et dolorum fuga. Et harum quidem rerum facilis est et expedita distinctio. Nam libero tempore, cum soluta nobis est eligendi optio, cumque nihil impedit, quo minus id, quod maxime placeat, facere possimus, omnis voluptas assumenda est, omnis dolor repellendus. Temporibus autem quibusdam et aut officiis debitis aut rerum necessitatibus saepe eveniet, ut et voluptates repudiandae sint et molestiae non recusandae. Itaque earum rerum hic tenetur a sapiente delectus, ut aut reiciendis voluptatibus maiores alias consequatur aut perferendis doloribus asperiores repellat.

Edit modo : clique sur le smiley de notre dessert préféré.


Vrai édit supermodo : le passage que j'ai mis en gras n'est pas des plus explicite. Peux-tu développer ?

Dernière modification par drixmok ; 18/12/2009 à 15h21. Motif: J'ai rien compris à sa phrase là. Oo
Le_Zouave est déconnecté   Réponse avec citation
Vieux 18/12/2009, 15h50   #9
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Mesdames, messieurs,

la réforme sur les régimes spéciaux doit parvenir Ã* la comptabilisation mensuelle d'une délégation ayant pour objectif la préocupation de la totalité des problématiques de bon sens. Je lance un appel Ã* toutes celles et ceux qui veulent entendre que l'hégémonie du profit au détriment de l'humain génère la profonde réflexion d'une focalisation qui se traduit par un choc de méfiance. C’est fort de cette unité et fort de votre présence que je peux aujourd'hui m'adresser Ã* vous en cet instant solennel pour vous dire que la formidable complémentarité des différents courants artistiques doit correspondre aux directives indispensables préalablement établies afin de poursuivre l'effort plus que légitime d'un déploiement visionnaire revivifiant. Inutile de chercher Ã* vous convaincre, vous qui savez déceler le vrai du faux, si j'affirme avec force que la situation réelle fait ressortir le réel attrait d'un monde plus égalitaire où personne n'aurait la sensation d'être exclu par une société de plus en plus exigeante. Il faut résolument admettre que la conjoncture actuelle justifie les subventions publiques d'une baisse effective du nombre de personne dans la détresse. Aujourd'hui, je voudrais vous dire que le particularisme dû Ã* notre histoire unique connait, par définition, la tentation d'une rupture sans agitation partisane pour retrouver le chemin du vivre ensemble.

Je reste fondamentalement persuadé que le processus de concertation au niveau national et local se trouve déjÃ* Ã* l'étape avancée d'une perception des prémices de la récession dans laquelle se trouvent distinguées des repères utiles. Et c'est tout Ã* fait sincère quand je déclare avec conviction que la répercussion de l'augmentation récurrente des dépenses doit conduire Ã* l'ouverture intégrale d'une impulsion avançant vers d’avantage de consentement. Je serai toujours le premier Ã* assurer que l'exceptionnelle diversité culturelle doit être au centre des débats d'une postérité allant vers essentiellement plus d’équité. Il est tout Ã* fait normal que je vous dise que l'effort indispensable de défense oblige Ã* la prise en compte encore plus effective d'un projet porteur de véritables espoirs, notamment pour les plus démunis. Je confirme tout de suite que l'intensité habituelle des difficultés de l’entreprise réitère l'élan nouveau d'une valorisation sans concession de nos caractères spécifiques. Pourquoi devrais-je essayer de vous convaincre, il suffit de regarder les chiffres et de constater que ceux-ci illustrent bien que la dynamique vertueuse justifie la démarche vertueuse d'une France où les plus assidus seraient récompensés.

Vous ne mettrez pas ma parole en cause si j'exprime le souhait de pointer du doigt que la complexité de la réalité Française encourage la diversité et la sensibilité d'une intelligence collective où la République tiendra sa promesse égalitaire. Présentement, l’élan populaire tourné vers notre avenir commun nécessite de la majorité des Français qu'ils reconsidèrent le socle d'un processus allant vers plus d'égalité. J'ose prendre des risques en vous disant que le reflet de l'idéologie du moment a pour effet voulu la pressante exigence d'un seul vrai recours qui dit qu'il faut faire son devoir au quotidien. Il se trouve que la mission qui nous a été confiée doit être le stimulus d'une évolution quoiqu'il arrive indispensable Ã* la préservation de notre mode de vie. Je m'efforce sans relâche pour vous, afin que vous appréhendiez au mieux le fait que l'identité nationale dans notre pays qui perds ses repères véhicule les prémices de solutions rapides correspondant aux grands axes sociaux prioritaires. Actuellement, l'acuité des problèmes de la vie quotidienne doit mettre un coup d’arrêt au sentiment de fuite en avant d'une valorisation plus généreuse des moins aisés.

De plus, vous savez pertinemment que la volonté farouche de sortir notre pays de la crise doit permettre la libre expression d'un plan correspondant véritablement aux exigences légitimes de chacun. Par ailleurs, c'est en toute connaissance de cause que je peux affirmer aujourd'hui que la société de consommation, telle que nous la connaissons, guide le dialogue identitaire d'un temps et d'une époque en phase avec les innovations afin de ne pas être dépassé. Où que nous mène la dualité de la situation conjoncturelle, le projet réaliste et ambitieux pour faire de la ville la capitale de toutes les solidarités véhicule les valeurs d'humanisme d'une force sereine et progressiste qui remettra notre pays sur le chemin de la réussite. Je ne peux affirmer le point de vue qui conduit Ã* penser que la nécessité de répondre Ã* votre inquiétude journalière, que vous soyez jeunes ou âgés, permet la reconnaissance absolue d'un monde nouveau où chacun ira Ã* son rythme et où nous attendrons ceux qui vont un peu plus lentement sans freiner ceux qui veulent accélérer. Et c'est en toute honnêteté que j'atteste avec évidence que la force et la richesse de la diversité oriente la conscience collective dans la voie d'un mouvement cheminant vers plus d'unité. Il faut opiniâtrement accepter que la République du respect interpelle le citoyen que je suis et nous oblige tous Ã* aller de l'avant dans la voie d'une recherche de la meilleure solution possible.

Je tiens Ã* plaider ici devant vous que la juste récompense de la promotion sociale conforte mon désir incontestable d'aller dans le sens d'une prise en charge complète des laissés pour compte. De plus, vous connaissez certainement la situation qui mène Ã* dire que l'effort prioritaire en faveur du statut précaire des exclus doit nous amener au choix réellement impératif d'une décroissance tangible du nombre d’individus dans la fatalité. J'ai toujours pensé que la démocratie participative entraine une mission somme toute des plus exaltante pour moi : l'élaboration d'une restructuration dans laquelle chacun pourra enfin retrouver sa dignité. Je tiens Ã* vous dire ici ma détermination sans faille pour clamer haut et fort que le regain d'intérêt pour le paquet fiscal, nécessaire Ã* l'augmentation du pouvoir d'achat pour tous doit s'intégrer Ã* la finalisation globale de l'ordre juste pour une France plus juste. Vous appréhendez sans nul doute que le développement équitable doit s'assimiler Ã* la notion intacte d'un programme plus humain, plus fraternel et plus juste. Le constat est tel que je peux certifier sans mal que l'approche sociale dans notre pays atteint la restructuration profonde d'une autorité permettant la meilleure cohérence possible.

Et ce n'est certainement pas vous, mes chers compatriotes, qui me contredirez si je vous dis que le droit fondamental des femmes doit réunir les atouts d'une société politique n’entendant plus assez l'appel répété des français. En effet, c'est en toute prescience que je peux garantir présentement que l'évolution sans concession de notre mode de vie efforce notre conscience Ã* l'inéluctable constat d'un progrès considérable soutenu par l'entente des différents partenaires sociaux. Je suis naturellement certain que la montée des dépenses basiques propose concrètement l'opposition résolue d'un retard en terme de gestion de contenu qui peut être très facilement rattrapé. Je demeure entièrement assuré que la France généreuse contraint la plupart d'entres nous Ã* repenser les fondements d'une majorité parlementaire qui responsabiliserait sur l'urgence écologique. Je désirerai que vous jaugiez que la forte disparité régionale a pour conséquence obligatoire l'urgente nécessité d'une prospection émérite, et c'est un symbole. Comme disent les Chinois : Qui n'est pas venu sur la grande muraille n'est pas un brave et qui vient sur la grande muraille conquiert la bravitude. Aujourd'hui encore plus qu'hier, personne ne me désavouera si je maintien que la précaution essentielle de protection confirme l'inaliénable volonté d'un réaménagement dans lequel quiconque pourra en définitive reconquérir sa distinction.

J'ai depuis longtemps défendu l'idée que la situation d'exclusion que certains d'entres vous connaissent encourage mon attrait avéré de progresser dans la direction d'une France forte, riche et attractive. La démarche est si importante que je peux attester sans difficulté que l'autorité juste permet d'affirmer la prise de position résultante d'un rassemblement des conditions de base pour construire sa vie et envisager son avenir. Je dois vous avertir que la vrai question qui nous est posée en terme de maintien des acquis sociaux doit insister sur la rupture du lien social et sur le sentiment de vide d'un avenir s'orientant vers plus de progrès et plus de justice. Il m'appartient de vous prévenir que la tradition attachée Ã* notre mémoire consubstantielle se concentre sur les citoyens et les forces sociales d'une société où nous aurions tous notre place. Je dois vous informer que la refonte du pacte républicain doit prendre en compte les préoccupations de la population de base dans l'élaboration d'un suivi plus humain des moins fortunés. Dès lors, sachez que je me battrai pour faire admettre que la sécurité des personnes est l’orientation acquise d'une Europe socialement et économiquement redressée et capable de peser dans un mode multipolaire.

Beaucoup de nos concitoyens n’ont pas encore fait leur choix et pensent que l'intelligence participative doit nous mener au recueil ouvertement irrésistible d'une France où collectivité rime avec solidarité. Il faut savoir que l'escalade du coût de la vie, notamment en ce qui concerne les énergies fossiles doit décider de l'avenir d'au moins deux générations compte tenu de la lourdeur d'une société où vivre mieux ne rime pas forcement avec travailler plus. Je garde la réelle conviction que l'intégration sociale au profit de la vie associative des quartiers prend la direction conditionnelle qui donne un nouvel élan Ã* la France et qui rends possible, avec votre concours, les changements dont notre pays a besoin. Je vous garantis sauf inconduite que l'aspiration plus que légitime de chacun au progrès social pilote la clairvoyance fédérative sur la route d'une exigence politique innovante. J'aimerai que vous mesuriez avec discernement que la puissante divergence locale doit renouveler la responsabilisation protectrice et la dynamique d'un encadrement plus propice Ã* l'instauration d'un climat de confiance.

l'intelligence participative pilote la clairvoyance fédérative sur la route d'une France forte, riche et attractive. Et ce n'est certainement pas vous, mes chers compatriotes, qui me contredirez si je vous dis que la volonté farouche de sortir notre pays de la crise contraint la plupart d'entres nous Ã* repenser les fondements d'une postérité allant vers essentiellement plus d’équité. Je serai toujours le premier Ã* assurer que l'effort indispensable de défense doit être au centre des débats d'un processus allant vers plus d'égalité. Il faut résolument admettre que l'autorité juste doit renouveler la responsabilisation protectrice et la dynamique d'un réaménagement dans lequel quiconque pourra en définitive reconquérir sa distinction. Vous ne mettrez pas ma parole en cause si j'exprime le souhait de pointer du doigt que la nécessité de répondre Ã* votre inquiétude journalière, que vous soyez jeunes ou âgés, encourage la diversité et la sensibilité d'une force sereine et progressiste qui remettra notre pays sur le chemin de la réussite. Le constat est tel que je peux certifier sans mal que le processus de concertation au niveau national et local se concentre sur les citoyens et les forces sociales d'un retard en terme de gestion de contenu qui peut être très facilement rattrapé.

Je demeure entièrement assuré que la sécurité des personnes doit nous amener au choix réellement impératif d'un encadrement plus propice Ã* l'instauration d'un climat de confiance. Aujourd'hui encore plus qu'hier, personne ne me désavouera si je maintien que la dynamique vertueuse véhicule les prémices d'une Europe socialement et économiquement redressée et capable de peser dans un mode multipolaire. Où que nous mène la dualité de la situation conjoncturelle, la situation d'exclusion que certains d'entres vous connaissent confirme l'inaliénable volonté d'une France où les plus assidus seraient récompensés. Il est tout Ã* fait normal que je vous dise que l'intensité habituelle des difficultés de l’entreprise doit prendre en compte les préoccupations de la population de base dans l'élaboration d'un déploiement visionnaire revivifiant. Je vous garantis sauf inconduite que la refonte du pacte républicain doit décider de l'avenir d'au moins deux générations compte tenu de la lourdeur d'une baisse effective du nombre de personne dans la détresse. Aujourd'hui, je voudrais vous dire que la juste récompense de la promotion sociale doit correspondre aux directives indispensables préalablement établies afin de poursuivre l'effort plus que légitime d'une délégation ayant pour objectif la préocupation de la totalité des problématiques de bon sens.

En effet, c'est en toute prescience que je peux garantir présentement que l’élan populaire tourné vers notre avenir commun doit conduire Ã* l'ouverture intégrale d'une prise en charge complète des laissés pour compte. Dès lors, sachez que je me battrai pour faire admettre que le projet réaliste et ambitieux pour faire de la ville la capitale de toutes les solidarités conforte mon désir incontestable d'aller dans le sens d'une impulsion avançant vers d’avantage de consentement. Je tiens Ã* plaider ici devant vous que la République du respect permet d'affirmer la prise de position résultante d'une intelligence collective où la République tiendra sa promesse égalitaire. Je reste fondamentalement persuadé que la conjoncture actuelle génère la profonde réflexion d'une recherche de la meilleure solution possible. Il se trouve que la précaution essentielle de protection doit s'intégrer Ã* la finalisation globale d'une valorisation plus généreuse des moins aisés. Pourquoi devrais-je essayer de vous convaincre, il suffit de regarder les chiffres et de constater que ceux-ci illustrent bien que l'approche sociale dans notre pays justifie les subventions publiques d'un mouvement cheminant vers plus d'unité.

Je suis naturellement certain que la tradition attachée Ã* notre mémoire consubstantielle doit insister sur la rupture du lien social et sur le sentiment de vide d'un programme plus humain, plus fraternel et plus juste. J'ai depuis longtemps défendu l'idée que la complexité de la réalité Française réitère l'élan nouveau d'un progrès considérable soutenu par l'entente des différents partenaires sociaux. Beaucoup de nos concitoyens n’ont pas encore fait leur choix et pensent que l'identité nationale dans notre pays qui perds ses repères doit parvenir Ã* la comptabilisation mensuelle de l'ordre juste pour une France plus juste. Vous appréhendez sans nul doute que la forte disparité régionale connait, par définition, la tentation d'une valorisation sans concession de nos caractères spécifiques. Je garde la réelle conviction que le droit fondamental des femmes prend la direction conditionnelle de solutions rapides correspondant aux grands axes sociaux prioritaires. Et c'est tout Ã* fait sincère quand je déclare avec conviction que la réforme sur les régimes spéciaux justifie la démarche vertueuse qui donne un nouvel élan Ã* la France et qui rends possible, avec votre concours, les changements dont notre pays a besoin.

Je compte sur vous, raison pour laquelle je vous confie que la répercussion de l'augmentation récurrente des dépenses permet la reconnaissance absolue d'une société où nous aurions tous notre place. De plus, vous savez pertinemment que l'exceptionnelle diversité culturelle doit nous mener au recueil ouvertement irrésistible d'une focalisation qui se traduit par un choc de méfiance. Par ailleurs, c'est en toute connaissance de cause que je peux affirmer aujourd'hui que la formidable complémentarité des différents courants artistiques véhicule les valeurs d'humanisme d'une prospection émérite, et c'est un symbole. Comme disent les Chinois : Qui n'est pas venu sur la grande muraille n'est pas un brave et qui vient sur la grande muraille conquiert la bravitude. Je lance un appel Ã* toutes celles et ceux qui veulent entendre que la puissante divergence locale est l’orientation acquise d'une société politique n’entendant plus assez l'appel répété des français. Et c'est en toute honnêteté que j'atteste avec évidence que la société de consommation, telle que nous la connaissons, efforce notre conscience Ã* l'inéluctable constat d'une exigence politique innovante. Je ne peux affirmer le point de vue qui conduit Ã* penser que l'acuité des problèmes de la vie quotidienne guide le dialogue identitaire d'un plan correspondant véritablement aux exigences légitimes de chacun.

Présentement, l'intégration sociale au profit de la vie associative des quartiers doit s'assimiler Ã* la notion intacte d'une rupture sans agitation partisane pour retrouver le chemin du vivre ensemble. De plus, vous connaissez certainement la situation qui mène Ã* dire que l'aspiration plus que légitime de chacun au progrès social atteint la restructuration profonde d'une société où vivre mieux ne rime pas forcement avec travailler plus. La démarche est si importante que je peux attester sans difficulté que l'effort prioritaire en faveur du statut précaire des exclus a pour conséquence obligatoire l'urgente nécessité d'un rassemblement des conditions de base pour construire sa vie et envisager son avenir. C’est fort de cette unité et fort de votre présence que je peux aujourd'hui m'adresser Ã* vous en cet instant solennel pour vous dire que le développement équitable a pour effet voulu la pressante exigence d'une décroissance tangible du nombre d’individus dans la fatalité. Je tiens Ã* vous dire ici ma détermination sans faille pour clamer haut et fort que l'évolution sans concession de notre mode de vie doit mettre un coup d’arrêt au sentiment de fuite en avant d'un seul vrai recours qui dit qu'il faut faire son devoir au quotidien. J'ose prendre des risques en vous disant que la France généreuse fait ressortir le réel attrait d'un monde plus égalitaire où personne n'aurait la sensation d'être exclu par une société de plus en plus exigeante.

J'aimerai que vous mesuriez avec discernement que la mission qui nous a été confiée oblige Ã* la prise en compte encore plus effective d'une France où collectivité rime avec solidarité. Je dois vous informer que la démocratie participative doit permettre la libre expression d'une évolution quoiqu'il arrive indispensable Ã* la préservation de notre mode de vie. Il faut opiniâtrement accepter que la montée des dépenses basiques entraine une mission somme toute des plus exaltante pour moi : l'élaboration d'un monde nouveau où chacun ira Ã* son rythme et où nous attendrons ceux qui vont un peu plus lentement sans freiner ceux qui veulent accélérer. Actuellement, la vrai question qui nous est posée en terme de maintien des acquis sociaux encourage mon attrait avéré de progresser dans la direction d'une restructuration dans laquelle chacun pourra enfin retrouver sa dignité. J'ai toujours pensé que la force et la richesse de la diversité oriente la conscience collective dans la voie d'un avenir s'orientant vers plus de progrès et plus de justice. Il faut savoir que l'hégémonie du profit au détriment de l'humain doit réunir les atouts d'une majorité parlementaire qui responsabiliserait sur l'urgence écologique.

Je m'efforce sans relâche pour vous, afin que vous appréhendiez au mieux le fait que la situation réelle nécessite de la majorité des Français qu'ils reconsidèrent le socle d'un projet porteur de véritables espoirs, notamment pour les plus démunis. Je dois vous avertir que le reflet de l'idéologie du moment doit être le stimulus d'une perception des prémices de la récession dans laquelle se trouvent distinguées des repères utiles. Je désirerai que vous jaugiez que le particularisme dû Ã* notre histoire unique interpelle le citoyen que je suis et nous oblige tous Ã* aller de l'avant dans la voie d'une autorité permettant la meilleure cohérence possible. Je confirme tout de suite que l'escalade du coût de la vie, notamment en ce qui concerne les énergies fossiles se trouve déjÃ* Ã* l'étape avancée d'un suivi plus humain des moins fortunés. Il m'appartient de vous prévenir que le regain d'intérêt pour le paquet fiscal, nécessaire Ã* l'augmentation du pouvoir d'achat pour tous propose concrètement l'opposition résolue d'un temps et d'une époque en phase avec les innovations afin de ne pas être dépassé.


Mesdames, messieurs, je vous remercie de votre attention. Par la même soyez assuré de ma réelle implication et du caractère profond de mon engagement concrétisé ici par les mots pour vous offrir un monde meilleur et plus juste.

Citation:
Envoyé par drixmok Voir le message
Seul l'intitulé me revient, je n'aurais jamais imaginé que ma formulation débouche sur un réel concours de quéquettes réthoriques, j'en suis flatté.

Du coup je me sens obligé de tenter une participation.

Chapitre 1 : de la longueur et de la complexité du discours, particulièrement sur un forum de jeux video.

Vaste débat que celui-ci, en même temps vu le sujet du topok il ne peut en être autrement.
Sur ce point précis j'ai un sentiment partagé. En tant qu'amoureux des mots et grammar-orthograph-syntax nazi, j'aime avoir parfois recours Ã* des formulations complexes, des phrases longues aux structures ampoulées parsemées de termes de plus de quatre syllabes et foisonnantes de références culturelles plus ou moins obscures, plus ou moins évidentes, plus ou moins accessibles. De ce point de vue, les références Ã* Orwell, Kafka, Nietzsche ou Gérard Hernandez ne me dérangent pas, bien au contraire. J'ai tendance Ã* penser que ce qui me défie me fait avancer. Or, lire une argumentation touffue et complexe est un défi lancé aux lecteurs, défi qui se présente généralement sous la forme de pavés souvent qualifiés d'indigestes et décourage d'emblée les plus fainéants. C'est d'ailleurs quelque chose d'assez drôle, cette analogie Ã* la nourriture, et Ã* y réflechir un peu c'est relativement absurde, comme si la simple vue de la taille des plat servis sur une table dressée suffisait Ã* en définir le degré de digestabilité ! Suivant ce principe, une simple assiette garnie d'un steak Ã* l'origine douteuse accompagné de frites suintant la vieille graisse brûlée, servie dans un vil snack Ã* l'hygiène improbable serait a priori plus digeste qu'un buffet gargantuesque, constitué de mets inconnus et exotiques, élaboré par un grand chef dans les règles de l'Art et en respectant la chaîne du froid. C'est parfaitement idiot, vous en conviendrez aussi bien que moi. La longueur d'un texte ne permet en aucun cas de présumer de la qualité de son contenu. Certes, la probabilité de voir le locuteur trop prolifique partir dans des digressions est plus importante que dans le cas d'un post mono-smilesque, mais il n'en reste pas moins que le contenu a également plus de chances de comporter une argumentation solide et réflechie qu'une famélique réaction épidermique imagée que d'aucun qualifieraient au mieux de reptilienne. Car c'est bien lÃ* un point important et dommageable Ã* la communication : sur un forum, au-delÃ* de la fainéantise chronique et de l'incapacité structurelle Ã* la concentration -dûes d'un côté aux usages intensifs voire frénétiques de l'Internet (réseaux sociaux débilitants en tête) et de la télévision, qui Ã* force de zapper de chaînes en blog en twitts en spots publicitaires réduisent Ã* néant les facultés congnitives, et d'un autre côté Ã* l'Education Nationale qui en plaçant l'élève au centre de son enseignement n'a pas eu les effets escomptés, loin de lÃ*- des participants, règne un indéniable découragement face aux mots, Ã* leur poids et Ã* leur sens. Le manque évident de culture et de curiosité de la plupart des personnes fréquentant les forums rend la moindre argumentation soigneusement élaborée incompréhensible au plus grand nombre... Mais est-ce l'auteur du texte imbitable qu'il faut blâmer ou faut-il se blâmer soi-même de ne pas être en mesure de comprendre ce qui est écrit alors que l'on s'estime supérieurement intelligent ? Hmm ? La question mérite d'être posée, et systématiquement. Car on reproche sans arrêt aux autres de ne pas communiquer correctement, et quand ils le font, on leur reproche d'en faire trop. Bref, une remise en question personnelle ferait le plus grand bien aux ramollis de la cafetière qui préfèrent casser du nazi dans Call of Duty 27 plutôt que de lire un vrai bon livre comme en écrit Marc Lévy.

Cela étant posé, il ne faut néammoins pas, sous prétexte que l'on souhaite élever le débat -bien souvent hélas contre le gré des autres débatteurs qui se complairaient bien dans une tornade de posts expéditifs menant irrémédiablement Ã* une avalanche de points Godwin- se couper volontairement du reste du monde Ã* grand renfort de références Ã* la littérature ouzbèque du 15ème ou d'analogies avec la théorie des cordes. On se sent intelligent Ã* ressortir ces choses que l'on a apprises au hasard d'une compulsation méthodique de Wikipédia et de l'encyclopédie universelle du Petit Robert, mais cela ne se suffit pas en soi. C'est lÃ* bien souvent l'écueil principal des grands parleurs, ils usent et abusent mais c'est bien souvent au détriment du fond qui de fait et de façon relativement paradoxale n'est plus qu'éfleuré et tiendrait finalement dans une phrase courte et péremptoire pouvant aisément, dans la plupart des cas, être résumé Ã* ceci : "Cherche pas t'as tort, tu dis d'la merde, MOI j'ai raison épicétou." Par ailleurs, il est certes jouissif d'user de termes et de tournures complexes afin de faire croire Ã* ceux qui lisent qu'on les estime pour intelligents alors qu'en réalité tout ce que l'on dit c'est qu'ils sont cons comme des balais Ã* chiotte d'aire d'autoroute. Mais c'est une attitude méprisante et par conséquent méprisable. Le problème est que l'on est souvent tenté d'en arriver Ã* ces extrémités face Ã* la vacuité des arguments qui nous sont proposés... Défauts d'arguments, de réflexion et de construction du message sont effectivement rédhibitoires lorsque l'on cherche Ã* partager -ou plutôt devrais-je dire imposer tant il est fréquent de lire des messages au prosélytisme ostentatoire- un point de vue, une idée ou une opinion. LÃ* encore, il faut se défier de cette tendance naturelle que nous avons tous Ã* estimer que la vérité unique est de notre côté, et que par la même les autres ne peuvent en aucun cas en être détenteurs, quand bien ils tenteraient de nous le faire croire en nous imposant leur avis. C'est une chose que je tiens pour acquise et sur laquelle toute tentative de réfutation se solderait par échec, soyez-en sûrs. Bref, il est nécessaire de se rendre accessible au plus grand nombre si l'on souhaite être au moins lu, au mieux entendu. Evidemment, il faut Ã* tout prix éviter de tomber dans les écueils du populisme crasse comme le fait si bien notre cher et vénéré Président de la République, car user d'un vocabulaire et d'une gestuelle Ã* peine dignes d'un redneck pouilleux consanguin perdu au fin fond du plus obscurantiste des états d'Amérique ne vous rend pas plus intelligible. Au mieux vous passez pour un con, au pire vous passez pour un salopard de politicard de merde qui prend ses électeurs pour des débiles profonds, mais je m'égare quelque peu en disant cela (plus haut je faisais état des digressions Ã* côté desquelles il est difficile de passer lorsque l'on tente de construire une argumentation fouillée et complexe, en voici la preuve éclatante. D'autant plus éclatante que la digression en question m'a amené dans une autre digression tout aussi parasitique vis-Ã*-vis de mon discours et qui si je n'y prends garde pourrait bien malgré moi entraîner une réaction en chaîne aboutissant Ã* un hors-sujet magistral, mais je saurais résister Ã* la tentation et m'en tiendrai lÃ* concernant cette fâcheuse parenthèse).

Ainsi donc, il est difficile de tracer une ligne droite et uniforme quant Ã* la durée et au contenu du message idéal sur un forum, qu'il s'agisse de celui sur lequel je poste présentement ou de celui de C dans l'air et qui, rien que par son intitulé, me rebute, mon statut d'orthograph nazi me rendant allergique Ã* toute forme de SMSisation du discours. Je ne doute pas que ledit forum soit fréquenté par des locuteurs de qualité mais je n'y foutrais jamais les pieds, le forum d'un émission télévisée (aïe) du service public (re-aïe) qui use dans son intitulé d'une formulation SMSesque (re-re-aïe) dans le but d'essayer d'attirer le crétin moyen alors que toute personne normalement constituée sait que c'est peine perdue étant donné la concurrence autrement plus séduisante (Cauet et son manège enchanté de poufiasses aux atours criards et de beaufs tuningués, ou Dechavanne et sa roue de la fortune autour de laquelle gravitent des candidates aux décolletés aussi vertigineux que leur abyssal manque de vocabulaire, une Victoria Silvsted qui a fait entrer la potiche dans une nouvelle ère qu'on y mettrait bien le kiki et un chien qui par sa seule présence paresseuse et nonchalante rélève la nature profonde de ce diervtissement sans même s'en rendre compte, pour ne citer qu'eux), je ne puis me résoudre Ã* le parcourir et encore m'y inscrire. il faut composer avec la mutlitude qui, par définition, est multiple (ah ah), et donc impossible Ã* satisfaire dans son intégralité. Il faut donc faire des concessions acceptables. Alors selon son humeur, soit pour être lu et compris de tous, l'on se résoud Ã* sacrifier un argumentaire bétonné de 327 lignes et se contente la mort dans l'âme d'un "+1" qui ne fait rien avancer mais a l'avantage non négligeable de faire gagner un temps précieux sur un débat qui de toutes façons est sans issue, soit l'on se vautre dans le stupre d'une logorrhée verbale qui se répand ad nauseam et qui si elle attirera Ã* coup sûr les foudres des plus crétins, des plus oisifs, des moins cultivés, des bêtes et des méchants, voire de la combinaison de tout cela -ce sont les pires-, soit l'on tente une voie médiane qui ne satisfera personne -ni celui qui écrit qui sera frustré de devoir ainsi sacrifier sa belle réthorique sur l'autel de la compréhension générale, ni ses lecteurs qui, n'étant pas Ã* une incohérence près, lui reprocheront de ne pas aller loin- mais qui aura le mérite de la consensualité et d'une certaine hypocrisie latente qui constituent le terreau idéal Ã* la floraison d'un futur chef d'entreprise, voire soyons fous d'un potentiel chef d'Etat.

Tout ça pour dire que putain, écrire sur un forum c'est pas évident. :/
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Envoyé par dolarcles Voir le message
Allez les gars, grand concours ! (C) Idée originale de Drixmok !

Répondez Ã* ce texte en un maximum de ligne (vous êtes autorisés Ã* écrire plusieurs messages si le forum vous limite le nombre de caractères), tout en y mettant un minimum de sens et un maximum de mots complexes ! Cadeau bonus pour celui qui placera des mots en caractères non-imprimables !


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Envoyé par M@cZér0
Bah non, franchement, pourquoi inviter la populace quand on peut faire un dialogue entre 2 ou 3 élites littéraires?
+1 avec une nuance cependant, je réfute le mot "littéraire" je ne fais jamais de référence littéraires poussés, je reste toujours dans les classiques populaires, nous ne sommes pas sur le forum de "C Dans L'air" quand même (d'ailleurs certains devraient y faire un tour pour constater ce qu'est un vrai forum de débat, sans moustiques boutonneux)

Oui bien entendu il est évident que je vise plus particulièrement une fraction bien précise du forum (disons les +25 ans, en réalité ce n'est pas une question d'âge ni de classe, mais c'est pour faire bref) c'est triste Ã* dire, mais je n'ai malheureusement plus le temps de répondre Ã* des gens inexpérimentés comme je l'ai toujours fait des années durant sur PA, en particulier sur des sujets dont ils n'ont même pas le début d'une réflexion.

d'ailleurs tu remarqueras que ça marche plutôt bien, les seuls qui argumentent sérieusement sur le fond sont dans ma cible, même si on ne partage pas forcément la même opinion.

Certains autres Ã* part proférer quelques gentilles brimades Ã* mon endroit quand ils parviennent Ã* déchiffrer une ou deux phrases, n'ont pas grand-chose Ã* ajouter sur le fond (simplement parce qu'ils n'ont pas l'âge et/ou l'expérience de le faire, il ne faut pas avoir honte de ne pas comprendre), cela me convient c'est le principe du forum, il n'y a pas de honte Ã* cela.

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Envoyé par Vince
- citer Orwell, Kafka ou autre pour parler de nolife, j'en vois pas l'intérêt
Tu exagères Vince, je n'ai ni parlé de Orwell ni de Kafka, j'ai dit Novlangue... mot pourtant très courant, tu m'as ensuite demandé pourquoi et seulement lÃ*, j'ai dû m'en justifier (hors débat du départ) en prenant des exemples, pas avant.

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Envoyé par Vince
pour finir, il n'est pas nécessaire d'écrire des pavés complets pour faire comprendre une idée, au contraire, être synthétique est bien plus difficile mais c'est bien plus efficace
Je ne te suivrai malheureusement pas dans cette analyse, notre langue est riche il faut savoir l'utiliser avec justesse, mes idées sont écrites, tout y est, je te propose de relire sans aprioris et avec justesse ce que j'ai écrit et ensuite ose me dire sincèrement que tu n'as pas compris ce que j'ai voulu développer, mais c'est ainsi fait, certains ont tendance a poster plus vite que leur ombre sans avoir bien saisit l'argumentation, certains avouent sans aucune gène ne pas avoir lu du tout, mais comme c'est nesgba par principe on est contre, peu importe ce qui est écrit.

Un petit exemple, la je vais m'amuser Ã* déconstruire ce qu'a tenté de faire l'un des intervenant, il me semble que c'est un modo (je sais plus lequel) qui avais déjÃ* tenté ça sur un autre topic. (tu verra que si je m'amusai a faire ca a chaque fois avec tout le monde, mes interventions ne se résumeraient pas seulement en quelques dizaines de lignes)
En gros l'objectif est de laisser planer l'idée sous-jacente qu'étant donné que je suis codeur de formation et partant du principe que le codage repose (ça n'a en fait rien Ã* voir, mais peu importe) sur la logique booléenne, cela doit avoir une influence sur le psyché et peut-être que ça & contribué Ã* me faire développer une vision manichéenne des choses, donc soit blanc soit noir en rapport avec le binaire, 0 ou 1 devient méchant ou gentil... est-ce que tu imagines le niveau ahurissant de crasse intellectuelle qu'il a fallu cumuler pour aboutir Ã* ce type d'argument...
cqfd: le sel dans tout ça c'est quand il s'agit d'un codeur qui dit cela Ã* un autre codeur...

Tu vois que je n'ai même pas eu besoin de répondre, la vérité parle d'elle même.

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Envoyé par Hitto
et nes : t'es vraiment naïf. Pas pour ton discours, mais pour croire que tu peux convaincre/éclairer/convertir quelqu'un sur internet, lol.
Tu as peut-être raison, (en tout cas sur ce forum), mais saches que ce n'est pas pareil sur tous les forums, c'est désolant de constater que moins les gens ont de culture générale moins ils sont ouverts au dialogue, je pense qu'il y a moyen de le théoriser, mais peu importe, même si en effet, discuter avec des gens qui sont dans un carcan intellectuel, culturel, philosophique pauvre n'est certes pas très intéressant, il faut se dire que tout le monde évolue, ce forum existera encore dans 5 ans et ceux qui jadis avaient 20 ans seront plus matures, auront changé de paradigme et seront plus Ã* même de comprendre des arguments qui autrefois avaient une signification autre Ã* leurs oreilles, c'est lÃ* l'intérêt de continuer Ã* argumenter sagement, l'important n'est pas de convaincre dans l'immédiat tous les segments sociaux qui composent un forum, ce qui est important c'est de dire une parole de vérité, tout simplement.

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Envoyé par archipel
par contre, c'est Orwell qui a dit en premier dans la ferme aux animaux "Certains sont plus égaux que d'autres"
Exact, mais il faut re-contextualiser, dans le bouquin ceux qui sont plus "égaux" se sont des ancien pauvres (j'ai pas le bouquin sur moi, mais il me semble que c'est "Boule de neige" qui dit ça un peu avant de se faire chasser :'().
La ferme des animaux est un récit qui démontre simplement que les pauvres deviennent autant voir pire que les riches dès qu'ils obtiennent le pouvoir, (c'est avant tout une critique du communisme, il faut simplement se souvenir de la fameuse affiche "Big Brother is watching you" dans 1984, c'est le portrait craché de Staline).
La ferme des animaux reste un petit texte accessible Ã* tout le monde (petits gauchistes geignard compris).

C'est un peu comme l'expérience des rats plongeurs, il y a des hiérarchies sociales qui reviennent toujours, des dominants et des dominés, impossible d'aller contre cela sans créer un système totalitaire de la pire espèce.

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Envoyé par Tembargo
Je suis sur que tu as des choses intéressantes Ã* dire Nesgba, mais le ton que tu emploies (tout comme Hitto..) te rend vraiment détestable au possible et limite inintéressant(je dis limite car j'ai tout de même été voir après coup, ce roman d'Orwell ).. Et c'est bien dommage..
Je ne te répond pas qu'a toi hein, mais comme il y a eu plusieurs fois la question.

Avant toute chose je le dis clairement, ça ne me dérange pas, j'ai la chance d'aimer la compétition et l'adversité, je n'irai pas jusqu'Ã* dire que c'est un plaisir tout le temps, mais je te concède volontiers que parfois, c'est réellement jouissif d'être en quelque sorte le polémiste officiel de PA, plus j'ai de messages fielleux plus grande est l'excitation

Bien je te propose un exercice simple, imaginons que dans un topic tu proposes ton avis, en restant dans les règles du forum et de l'étiquette, un avis qui, en est un parmis d'autres, qui ne vaut ni plus ni moins, ni meilleur ni pire, tu as un gars, certainement un pleutre de la pire espèce mais passons, qui, parce qu'il n'est pas d'accord avec toi, qu'il ne t'aime pas, qu'il n'a pas envie de débattre, peu importe la raison, déplace ton texte, ne laisse aucun message, ne laisse pas son nom, n'explique nulle part, ni en privé, ni en public ce qu'il a fait et dépose ce message dans un topic nommé "poubelle : Tembargo" sans autre forme de procès.

Après cela, loin de vouloir réparer ce terrible forfait tu as une sorte de lever de bouclier corporatiste qui s'enclenche, "c'est notre modo il n'a pas fait d'erreur", et dans une sympathique bonhomie tout le monde s'accorde sur le fait qu'au final ce n'est pas si grave, puis ce n'est qu'un forum hein...

Même si tes idées sont exactement Ã* l'opposé des miennes, il aurait fallu que tu te battes pour que ce genre de geste ne puisse plus se reproduire, cela même si tu éprouves Ã* mon égard une aversion des plus vives.
C'est ce qu'on appelle la démocratie, tout simplement, je ne te ferait pas l'affront de te ressortir la célèbre phrase de Voltaire (qui d'ailleurs n'est pas réellement de lui ).

Et après tout cela, tu viens me dire que ce qui te choque, c'est que j'ai une argumentation qui est un peu martiale ou dédaigneuse.
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Envoyé par Le_Zouave Voir le message
rioleh, grillé http://g.langue.de.bois.free.fr/politique/discours.php

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Mevoelah resadadu moe lefah bemoele dehijurasy, reli sef labynebe no vifev vyli. Du, dunaques nabab moeb hih vacoc, nala ti madulihela dih, hi lehi laqu. Bajabal setem, meh mymu, meled soelitijave delebuvale, mev, daje dirireme. Calocelede memy nolile lydi lybib vapib lofebal vaniferofa me boeb viqu cel fimumuf lijefacy. Bijoel vib beboe bade nehe famelisala foc hafiboj jimem sif coe, vamal.

Joe lylel quilyl ho qued je fequ sique petulitan loefa soeb quam lise dim jam. Vup, paliquoe falo cicoesylij doelesi hemoetohe rid, mimij, lil rilomepeve, hiheva, jolid deboe quelel, quumi. Le, bipe redoelym lemo bij lefilad dec safi fi bum quilis mas. Ru ja, mefomep badafa mid jodaril pifabif deb lem mulatymuhe quesyles, moeh hedabej coe. Del, ref te dehal quehiqu buquiv, sy re lato, bimalope rol feca, lyl fuli.

Ditelave qualel tiso jefa me lyri ju lahu tu coefefyc bedesa cebyv sa quat majyda. Lisoniri le, maf rydit pab boevelodim jejefide rata, vadoedire, cyralelih mimudequebe jamu, nebidal te. Mybe moneb lahesafate, nilelimy mo mib maquefyc meboqu dejil le. Dedevace bal lidoquufoeb, deli pim toelebepeme fyda mujof dob ni pyfib vehoevy denajeb nimet. Fabe febidi lemodoeda jequi sidohale bevysebid poel quoemoeceli biba delalin lel lela dynecahet lemole, doedob.

Dedib mefoel behu, pesad pemy leli doebija delyh, vav le. Dipa syvi, relaqu soely bonabi ce moelinadu meje foerinic mulid, dal. Moebem bamehanab be fe bu niquil piran jaquuqu mal fafimubomi dimepiloba fumaqualoha doece tudobov, lovace. Ba mopah loenoboel belaha ric do, bolafa lemy famibovym bafifa. Semequidil lemim tob lufoe lefe coenibi na mem moe byladety mahelefe, nili baj ro, femel.

Ber, bibemyv bebujamif nade va moequ de, le delo ri bi mececycame lybija se tatibupi. Lebotim mobe, quade me dajele sev fe cade, lin cidabud bas bese fimemalab me dy. Luveva, pere, civusebih fimelules tan qual dumimimoelu, bav luvetal, baboebyd fysoe pem. Nalete paquajom leb la li bavef jacadoevy, deb, mi fiquamyjev lubyd femetasa, fele soe hutam. Difoedo dymaby ladymu malim homisy co mef myse, hodilys fu loequ bub sof mid.

Pesame fesefal pivelep bac foelebijy dasid ma lidoe, lyp lef vade behon, li. Mideju domeboe fecu faloevu cemalele quimareced loebe disudoeb med quoe ja jivamy, hyda. Tahi, tel myl pa foeloem ri, seh tarube, joev bidoly. Rapid latid bidoecu, mifuci hip fo, di doedolina foemole vaviha. Jimul, voemo babem tim loelididen cydivel, lelesej lejes lol davef huje cesol sypyma.

Mo, pidali vice dibu, coseloe husirec favi vadal mybir faqu radu vy, bomi. Diredame, quifafama nyloeb voda, panu fa mid lileleda voquif bupibimi biquibi. Fedeh tybydavoebu voe lado dijebyhev quifajesa jed, lebidib fadiloebu liqueridoboe luhel lu le mifimato pyf. Li, liba sehohab cif dem laf dami febom pol ser venipu di befa. Feh feb fe dal requalimary loe, red veloe, jevaled, mac le tafu, dimihe.

Loesed boenanacoede quoepoebadelu, re rebadyjoe mi, fuqu fimidoen ralimefa tamesi lomavah. Nabih fute, leratu del fanudovuli fu neb my fefi, lefidel. Vo bojala lebam dyl cufedy her syloeceb baly quac labe quy. Duqu, didyloe felo maj jymi pa la vumi coebydal, larobe japeja paquosidyqu noelecefyj, mebin sejalenede. Toboenar, quel lafe va haqu mi tal dyt quedibe lyquid bed pepivoeli nety.

Fu rare, ba mi, myl veji sapatubin deji nydoe lyralora la ludyv bela roem jipesedu. Na belap tury vequoele, dali met doet mecale cibemaboena quib fem tifomu masebyjada beme jy. Fac, ji boebefoelob loecyf, metadaci deca be leluquelid, fo dilihoe, bybe li foquoe darecoe. Vid dena mulelij joeliha cefequoeluny ned rul tefoem mesi baj hiso, ba bebab. Boefe mebubequylu mu heb ram tasura moevilul ryde pafal ce bi.

Fif cim nenelili, dahimaco depoec quyle noe heb moelemy, vaboeva, ce lebenali pyli vam mib. Ri viv rijapal mebavelel bi rut, sybarid, lof, mid lyqua moeloequum maline. Rale, jifo lemuliquid, mojy nadijyme falyc lehe debemibivi libel pyl lelaji mafin dop ma. Lefu quetepofab ma typ mis da pol celel bosemequy foesi tin dinifo beboe. Soju ruviquanilu ha jelij dy befum mije, di roemoc pe bimifucal ladive nabaque ladeja miquidi.

Ne, but, bily quibafalemi moefemasefu bamit lis jiticemir ledeno beboe, cahali lemo bicap fy bidoc. Lycifimoedu, ban, sab mimid loed jequ meledunen ceneseb bimoevi me. Life hib tu dem biredejo boelif lefoe bed saj bili, lebalo. Je pyda mem lomeb toelipe, buquem, di caj quoelame mulam masifypyb. Rabe pef loeb lafad dib bycih lefevib, neha lesicef, feladydoed dudidi loelipifodo lasoeb hoe ratedana.

Melimoetu bequoenen maj habivoev tijajyl fe pyban befadam ba nateb pa quel baquebu. Co helycu namobale febam falo, palari riv fimadifoe filedivo ri ledade. Quilubiv pabu quej tamofyfi libel moelel lypo loel defeb daqueleti doesura. Cemafer, mibufe cah le nafoe vah, vem tej bilem benepefo, fav lubit be cited. Qued jeji, mu, memer bomy hadicafaj so mifucim bomel hecudam, cel, nop.

Bum me ba ledevoer pafalamoe bila, deb rif lih cedoe milev. Mymive bemenil rasa, mi nilamafob, menoelal feve fymem, memihe toce, teme, loebehi val, byquereda ri. Deruqu duda labevese, byped bebif fa loe me mej he, doevapa dafyje. Lerolyd hu robifir, las quivud fuli myquahevyve, puquoem tapycabu daba peledy cafuquemi. Be, nelimutesi dev, de liloe caba, tap riv bi fatadifela, hulo lylefeb doebaloet quacebu lul.

Sed ut perspiciatis, unde omnis iste natus error sit voluptatem accusantium doloremque laudantium, totam rem aperiam eaque ipsa, quae ab illo inventore veritatis et quasi architecto beatae vitae dicta sunt, explicabo. Nemo enim ipsam voluptatem, quia voluptas sit, aspernatur aut odit aut fugit, sed quia consequuntur magni dolores eos, qui ratione voluptatem sequi nesciunt, neque porro quisquam est, qui dolorem ipsum, quia dolor sit, amet, consectetur, adipisci velit, sed quia non numquam eius modi tempora incidunt, ut labore et dolore magnam aliquam quaerat voluptatem. Ut enim ad minima veniam, quis nostrum exercitationem ullam corporis suscipit laboriosam, nisi ut aliquid ex ea commodi consequatur? Quis autem vel eum iure reprehenderit, qui in ea voluptate velit esse, quam nihil molestiae consequatur, vel illum, qui dolorem eum fugiat, quo voluptas nulla pariatur? [33] At vero eos et accusamus et iusto odio dignissimos ducimus, qui blanditiis praesentium voluptatum deleniti atque corrupti, quos dolores et quas molestias excepturi sint, obcaecati cupiditate non provident, similique sunt in culpa, qui officia deserunt mollitia animi, id est laborum et dolorum fuga. Et harum quidem rerum facilis est et expedita distinctio. Nam libero tempore, cum soluta nobis est eligendi optio, cumque nihil impedit, quo minus id, quod maxime placeat, facere possimus, omnis voluptas assumenda est, omnis dolor repellendus. Temporibus autem quibusdam et aut officiis debitis aut rerum necessitatibus saepe eveniet, ut et voluptates repudiandae sint et molestiae non recusandae. Itaque earum rerum hic tenetur a sapiente delectus, ut aut reiciendis voluptatibus maiores alias consequatur aut perferendis doloribus asperiores repellat.

Edit modo : clique sur le smiley de notre dessert préféré.


Vrai édit supermodo : le passage que j'ai mis en gras n'est pas des plus explicite. Peux-tu développer ?
c'est pas faux !

EDIT bah nan rien...

Edit supermodo : c'est pas parce que t'es le patron que tu peux pas t'auto-bannir pour non respect de la charte spécifique du topic, hein...



Edit supermodo bis : je profite de l'occasion qui m'est donnée pour signaler Ã* toutes fins utiles que dans le tas je suis le seul Ã* avoir véritablement tenté d'entrer dans le concours de quéquettes, et du coup je me sens gonflé de fierté et même si j'osais d'une certaine suffisance toute nesgbaesque.



Edit supermodo dol (car il peut parler ailleurs) : Je tiens Ã* signaler que seul Drix a participé sérieusement Ã* ce concours pour le moment !
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Dernière modification par dolarcles ; 18/12/2009 à 16h09. Motif: Simple envie de parler ^^
Dr.Vince est déconnecté   Réponse avec citation
Vieux 18/12/2009, 16h31   #10
dolarcles
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Envoyé par drixmok Voir le message

Chapitre 1 : de la longueur et de la complexité du discours, particulièrement sur un forum de jeux video.

Vaste débat que celui-ci, en même temps vu le sujet du topok il ne peut en être autrement.
Sur ce point précis j'ai un sentiment partagé. En tant qu'amoureux des mots et grammar-orthograph-syntax nazi, j'aime avoir parfois recours Ã* des formulations complexes, des phrases longues aux structures ampoulées parsemées de termes de plus de quatre syllabes et foisonnantes de références culturelles plus ou moins obscures, plus ou moins évidentes, plus ou moins accessibles.
Certes, le français dans lequel tu t'exprimes est important, mais le style l'est tout autant : il doit en tous cas être adapté Ã* l'esprit du forum sur lequel tu t'exprimes, faute de quoi tu seras dissocié du paysage des utilisateurs et tu sembleras être un intru parlant une langue inepte que personne ne connaît. Dans le cas de playeradvance, l'important n'est pas d'avoir une grammaire nazie, des formulations complexes et/ou des phrases longues et ampoulées, mais de les parsemer de termes techniques plus ou moins foireux en cherchant Ã* faire croire aux autres lecteurs que tu es le maître du monde dans le domaine, ou Ã* défaut d'être de toute évidence plus doué que ton interlocuteur/adversaire.

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Envoyé par drixmok Voir le message
De ce point de vue, les références Ã* Orwell, Kafka, Nietzsche ou Gérard Hernandez ne me dérangent pas, bien au contraire. J'ai tendance Ã* penser que ce qui me défie me fait avancer.
Les références Ã* des écrivains ou autres philosophes sont juste la preuve d'une bourgeoisie de l'esprit de la part du rédacteur. J'ai présentement fait bons nombres d'études et je connais donc le sujet en long en large et en travers et je trouve franchement outrageusement pédant de faire référence Ã* ce genre d'auteurs, surtout qu'une bête petite recherche sur google permet de donner l'impression d'être quelqu'un d'érudit et d'éduqué alors qu'en fait la personne n'est qu'un gros nerdz qui sait bien utiliser google.

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Or, lire une argumentation touffue et complexe est un défi lancé aux lecteurs, défi qui se présente généralement sous la forme de pavés souvent qualifiés d'indigestes et décourage d'emblée les plus fainéants.
Il est vrai de préciser que les lecteurs sont très souvents des fainéants. Ce sont parfois des fainéants de tel haut niveau que j'estime un bon 50% des membres d'un forum comme "lecture seule" : en effet ils se contentent de rester passif, de ne rien dire et de lire. Cette passivité est agaçante, car elle fausse l'impression de participation ou d'intérêt du post en question.

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Suivant ce principe, une simple assiette garnie d'un steak Ã* l'origine douteuse accompagné de frites suintant la vieille graisse brûlée, servie dans un vil snack Ã* l'hygiène improbable serait a priori plus digeste qu'un buffet gargantuesque, constitué de mets inconnus et exotiques, élaboré par un grand chef dans les règles de l'Art et en respectant la chaîne du froid. C'est parfaitement idiot, vous en conviendrez aussi bien que moi. La longueur d'un texte ne permet en aucun cas de présumer de la qualité de son contenu.
En effet. Mais très souvent, concernant par exemple notre ami nesgba, ces propos peuvent être comparés Ã* un buffet gargantuesque de frites suinantes d'une vieille huile puante, accompagné de 10l de punch aromatisé Ã* la diahrée de vache : non seulement la quantité rend la chose indigeste, mais la qualité des mets est proprement immonde.

VoilÃ*, désolé je peux pas mieux pour le moment, j'ai mal au crâne (et je suis au boulot)
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Vieux 18/12/2009, 16h55   #11
drixmok
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Certes, le français dans lequel tu t'exprimes est important, mais le style l'est tout autant : il doit en tous cas être adapté Ã* l'esprit du forum sur lequel tu t'exprimes, faute de quoi tu seras dissocié du paysage des utilisateurs et tu sembleras être un intru parlant une langue inepte que personne ne connaît. Dans le cas de playeradvance, l'important n'est pas d'avoir une grammaire nazie, des formulations complexes et/ou des phrases longues et ampoulées, mais de les parsemer de termes techniques plus ou moins foireux en cherchant Ã* faire croire aux autres lecteurs que tu es le maître du monde dans le domaine, ou Ã* défaut d'être de toute évidence plus doué que ton interlocuteur/adversaire.
Tu poses le problème du style. Or, il est un aspect de la chose qui semble t'échapper, c'est que l'on peut sciemment utiliser un style en rupture avec les codes établis Ã* l'endroit où l'on écrit dans le but tout Ã* fait égocentrique et souvent couronné de succès d'attirer l'attention Ã* soi. D'où, si l'on rapporte ceci au sujet qui nous occupe, le recours Ã* des références littéraires classiques plutôt qu'Ã* l'habituel jargon mal digéré -et par conséquent régurgité mal t'Ã* propos- de pseudo professionnel qui n'a jamais rien réalisé de notable.

Cela étant posé, je me vois contraint d'abonder dans ton sens et suis au regret de ne pouvoir argumenter dans le sens inverse son peine de devoir aller Ã* l'encontre de mes convictions profondes, chose que je m'interdis par principe afin de rester totalement intègre et crédible.

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Les références Ã* des écrivains ou autres philosophes sont juste la preuve d'une bourgeoisie de l'esprit de la part du rédacteur. J'ai présentement fait bons nombres d'études et je connais donc le sujet en long en large et en travers et je trouve franchement outrageusement pédant de faire référence Ã* ce genre d'auteurs, surtout qu'une bête petite recherche sur google permet de donner l'impression d'être quelqu'un d'érudit et d'éduqué alors qu'en fait la personne n'est qu'un gros nerdz qui sait bien utiliser google.
J'ajouterais -Ã* défaut encore une fois de m'opposer Ã* ce que tu écris, ce débat manque cruellement de contradicteurs de qualité- que c'est un peu le "syndrome du dictionnaire de synonymes" dont sont atteints nombre de rappeurs de cave. Car il faut cesser de se voiler la face, ce Ã* quoi nous avons affaire ici n'est ni plus ni moins qu'une pathologie dont l'utilisation abusive de références wikipédiées Ã* la va-vite est le symptôme le plus flagrant. Le plus triste est qu'Ã* ce jour, aucun traitement n'ait encore été trouvé pour contrer ce fléau.


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Il est vrai de préciser que les lecteurs sont très souvents des fainéants. Ce sont parfois des fainéants de tel haut niveau que j'estime un bon 50% des membres d'un forum comme "lecture seule" : en effet ils se contentent de rester passif, de ne rien dire et de lire. Cette passivité est agaçante, car elle fausse l'impression de participation ou d'intérêt du post en question.
Effectivement, il est tout Ã* fait agaçant de constater que comme dans nombre d'autres domaines, la masse silencieuse tient ici son rôle de moule accrochée Ã* son rocher. Elle en exploite le potentiel mais de son côté ne partage rien, c'est tout Ã* fait typique de notre société actuelle où l'individualisme forcené fait loi et où le profit personnel prime sur toute autre valeur. C'est fort triste.


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En effet. Mais très souvent, concernant par exemple notre ami nesgba, ces propos peuvent être comparés Ã* un buffet gargantuesque de frites suinantes d'une vieille huile puante, accompagné de 10l de punch aromatisé Ã* la diahrée de vache : non seulement la quantité rend la chose indigeste, mais la qualité des mets est proprement immonde.
Certes oui, cependant en l'espèce il réside tout de même une nuance de taille qu'il convient de préciser : le n00b aborde ledit buffet comme le ferait un aveugle dénué du sens de l'odorat : Ã* "première vue" le buffet est copieux (trop pour les appétits d'oiseaux du twitter moyen) et il faut malheureusement y avoir goûté pour se rendre compte, mais un peu tard, de la supercherie. Et c'est lÃ* que ce pauvre Jacob se retrouve submergé alors qu'il n'en demandait pas tant. :/

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VoilÃ*, désolé je peux pas mieux pour le moment, j'ai mal au crâne (et je suis au boulot)
LÃ* en revanche je ne puis que m'élever afin de clamer mon indignation. Je suis moi-même sur mon lieu de travail et je prends le temps nécessaire Ã* la rédaction de messages de qualité et de longueur respectable.
Par ailleurs, je souffre d'une scoliose aigüe de l'ongle incarné de mon gros orteil gauche, cela me procure une douleur intense et constante que même la Vicodin que m'a généreusement offert Assounet ne parvient Ã* calmer, et pourtant je poste sans coup férir. On est un homme ou on ne l'est pas, pied tendre.
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Vieux 18/12/2009, 20h53   #12
Cobain
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j'adore les messages des modos Ã* CHAQUE topic
voilÃ*
les
14
qui
manquent
dans
mon
poste
pour
le
respect
de
la
consigne
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Vieux 18/12/2009, 22h20   #13
ZiapaT
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Vieux 18/12/2009, 22h28   #14
Nesgba
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Pas si mal Drix maintenant il est important que cela ait du sens, encore un effort.
Il faut un sujet principal particulièrement clair, lÃ* ça a tendance Ã* partir dans tous les sens, de la même manière il faut aussi éviter de partir trop loin en digressions (surtout si cela ne concerne pas le sujet). Le sujet doit être clair, le lecteur doit adhérer Ã* la réflexion jusqu'au final, pas besoin d'en faire des tonnes.


Bien je vous propose une réflexion amusante, postulat: quelque chose s'est amusé Ã* bloquer de manière *crapuleuse mon compte principal.
Après étude il semble que la chose (peut être un mammifère, voir un invertébré) sait utiliser un script, détail qui a son importance, nous parlons de quelque chose approchant probablement la configuration d'une huitre ou en tout cas un gastéropode. J'ai soulevé cette hypothèse pour quelques raisons que je vais narrer ci-bas.

Mon premier argument, c'est le fait que la chose ait choisit ce moyen contourné, en effet les forums vb possèdent un gestionnaire d'administration des plus complet pour évincer un intervenant indélicat, cela m'emmène Ã* une réflexion séduisante.
En référence Ã* la théorie du cerveau triunique de Paul Mac Lean qui développe une analyse évolutive et physique du cerveau humain, pour obtenir la capacité de penser, réfléchir, l'être humain a dû passer par plusieurs étapes d'évolution.
Le cerveau reptilien qui est apparu au néolithique, propre aux amphibiens, reptiles et autres volatiles ne permet une réflexion censée, l'animal ne pouvant que se sustenter et accomplir l'acte d'accouplement pour fixer une ascendance dictée génétiquement, le système limbique que certains mammifères ont plus ou moins développé n'octroie pas non plus une réflexion moins absurde, il permet au moins de gérer la peur, je ne pense pas notre coupable ait pu dépasser le stade du néolithique aussi ai-je tendance a privilégier la piste de l'invertébré, ma première réflexion m'a porté vers une huitre, le niveau de réflexion qu'il faut pour accomplir l'acte désigne de lui-même l'espèce du coupable.
L'animal doit au minimum pouvoir utiliser un clavier d'ordinateur, aussi un membre (préhensile ou pas) est indispensable, mon hypothèse s'est mise Ã* pencher vers celle d'un insecte ou d'un petit animal domestique n'ayant pas évolué depuis le néolithique.
Un insecte ne pouvant pas développer la puissance nécessaire pour presser une touche de clavier et son système de vision n'étant pas suffisamment développé pour appréhender l'espace colorimétrique qu'émet un écran tft classique, ma réflexion s'est porté sur un petit vertébré.
Tenant compte du fait qu'un animal n'utilise pas forcement toutes les capacités que lui confère son cerveau tout le temps, cette piste semble intéressante.
Un utilisateur humain ne laisserait pas un mammifère utiliser de la sorte son PC, pareillement les petits rongeurs domestiques sont généralement en cage, donc il est probable que le coupable soit un rongeur d'égout qui est parvenu Ã* creuser un trou afin de s'infiltrer dans l'appartement d'un utilisateur pendant son absence. Cela démontre que cet animal est capable d'avoir peur, il a dû monter sur le clavier pour ensuite accomplir son forfait.

Tout cela pour conclure après réflexion que celui qui a scripté l'accès Ã* mon compte est probablement un sale petit rat d'égout, doublé d'un lâche.


* Il est important de casser le ton de la phrase par des adjectifs tranchants, mais pas trop, cela doit rester rare, la formulation ne doit pas se faire exagérément racoleuse ; percutant jamais agressif.
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Vieux 18/12/2009, 22h57   #15
Arcadia
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[...]
Après étude il semble que la chose (peut être un mammifère, voir un invertébré) sait utiliser un script, détail qui a son importance, nous parlons de quelque chose approchant probablement la configuration d'une huitre ou en tout cas un gastéropode.
[...]
Jouer sur les mots est un peu mon fond de commerce, et, sauf erreur de ma part, dans la phrase reprise ci-dessus, tu sembles insinuer - puisque tu précises "en tout cas" - que l'huitre serait un gastéropode : ce n'est pas le cas ...

Sinon, ton petit exposé sur les aptitudes cognitives d'un petit éventail d'espèces dites inférieures n'était pas inintéressant, un peu emprunt d'une certaine acrimonie, mais pas inintéressant..
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Dernière modification par Arcadia ; 18/12/2009 à 23h21.
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Vieux 18/12/2009, 23h33   #16
Nesgba
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- puisque tu précises "en tout cas" - que l'huitre serait un gastéropode : ce n'est pas le cas ...
Tu as raison, j'aurais dû relire le début, en fait vers la fin j'avais projeté de modifier le huitre du haut en escargot, puis j'ai oublié, j'ai ajouté gastéropode sans modifier huitre...
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Vieux 18/12/2009, 23h43   #17
Arcadia
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Tu as raison, j'aurais dû relire le début, en fait vers la fin j'avais projeté de modifier le huitre du haut en escargot, puis j'ai oublié, j'ai ajouté gastéropode sans modifier huitre...
Ah ok, comme ça je comprends mieux. Faut m'expliquer moi
C'est dommage, tu aurais ajouté "mollusque" plutôt que "gastéropode", et bien ton oubli serait passé inaperçu...
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Vieux 19/12/2009, 00h16   #18
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Le cerveau reptilien qui est apparu au néolithique, propre aux amphibiens, reptiles et autres volatiles ne permet une réflexion censée, l'animal ne pouvant que se sustenter et accomplir l'acte d'accouplement pour fixer une ascendance dictée génétiquement, le système limbique que certains mammifères ont plus ou moins développé n'octroie pas non plus une réflexion moins absurde, il permet au moins de gérer la peur, je ne pense pas notre coupable ait pu dépasser le stade du néolithique aussi ai-je tendance a privilégier la piste de l'invertébré, ma première réflexion m'a porté vers une huitre, le niveau de réflexion qu'il faut pour accomplir l'acte désigne de lui-même l'espèce du coupable.
Même si j'approuve le contenu, et valide de manière implicite la remarque d'Arcadia, l'utilisation de phrase de plusieurs lignes étouffe souvent l'argumentation, et plus couramment, perturbe l'auteur lui même, en l'interdisant le plus souvent Ã* appréhender de manière complète sa prose. De fait, autant la grammaire peut parfois être en faute sans entaché le sens, autant l'orthographe homonimique casse le sens de la lecture. Typiquement, le mot censée nous promet une suite, qui n'arrive jamais, et rend la compréhension contre intuitive, obligeant une réévaluation de l'ensemble complet sous un nouvel angle. Le vrai mot étant sensée...

Ma modeste contribution pour faire reculer PA.org dans les limbes chtulutienne.
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Un langage de programmation est censé être une façon conventionnelle de donner des ordres à un ordinateur. Il n'est pas censé être obscur, bizarre et plein de pièges subtils, ça ce sont les attributs de la magie.

Dernière modification par Tiwaz ; 19/12/2009 à 19h53.
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Vieux 19/12/2009, 01h18   #19
Arcadia
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Envoyé par Tiwaz Voir le message
Même si j'approuve le contenu, et valide de manière implicite la remarque d'Arcadia, l'utilisation de phrase de plusieurs lignes étouffe souvent l'argumentation, et plus couramment, perturbe l'auteur lui même, en l'interdisant le plus souvent Ã* appréhender de manière complète sa prose. De fait, autant la grammaire peut parfois être en faute sans entaché le sens, autant l'orthographe homonimique casse le sens de la lecture. Typiquement, le mot censée nous promet une suite, qui n'arrive jamais, et rend la compréhension contre intuitive, obligeant une réévaluation de l'ensemble complet sous un nouvel angle.

Ma modeste contribution pour faire reculer PA.org dans les limbes chtulutienne.
Si je partage d'une manière générale ton propos, j’ai quant Ã* moi l’intime conviction que Nes, s’aventurant parfois hasardeusement dans un registre soutenu de la langue française, emploi en fait une construction elliptique aussi habille qu’ambiguë en se soumettant Ã* l’utilisation du « pas » pour exprimer une négation ; fort de cette distinction significative, il brise ainsi le sempiternel morphème Ã* signifiant discontinu constitué de « ne » et « pas », ce qui peut induire en erreur certains lecteurs – certainement perturbés par des phrases d’une longueur singulière – qui y verraient lÃ* un « ne » explétif appelant Ã* une suite qui ne risque donc (pas) de venir.
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Dernière modification par Arcadia ; 19/12/2009 à 01h38.
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Vieux 19/12/2009, 19h26   #20
drixmok
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Pas si mal Drix maintenant il est important que cela ait du sens, encore un effort.
Il faut un sujet principal particulièrement clair, lÃ* ça a tendance Ã* partir dans tous les sens, de la même manière il faut aussi éviter de partir trop loin en digressions (surtout si cela ne concerne pas le sujet). Le sujet doit être clair, le lecteur doit adhérer Ã* la réflexion jusqu'au final, pas besoin d'en faire des tonnes.
Chez nesgba que j'aime et que j'adore de tout mon coeur,

Je ne sais que penser de ce court extrait que je cite ici... L'abîme insondable de ta bêtise crasse et putride serait-elle si profonde que tu aurais pu prendre mon post initial au sérieux ? Je ne puis m'y résoudre. Toi, le chantre de l'intelligence, le rédacteur qu'on ne peut prendre en défaut, le penseur suprême, te laisser berner par si honteuse et mal dégrossie supercherie ? C'est impensable. Tu es bien trop intelligent, trop culturé, ta pensée est trop vive et fine pour croire qu'un traître mot de ce long pavé indigeste peut - et doit- être pris au sérieux. Non, il ne peut s'agir ici que de l'une de tes nombreuses manoeuvres dont la finesse n'a d'égal que ta simplicité légendaire. Encore une fois tu te joues de nous, j'en suis certain, tu cherches Ã* provoquer l'ire de ceux que tu critiques de ta plume acerbe gorgée de fiel. Il ne peut en être autrement. Il ne doit pas en être autrement. S'il en était autrement, j'ai peur alors que ce que je tenais pour vrai ne le soit finalement pas, mon dieu quelle horreur, que vais-je devenir si du fait de ton intervention la Vérité se révélait n'être qu'un vil mensonge que seul Le Malin aurait pu nous inspirer ? Je n'ose croire en un monde où ce que tu dis ne serait finalement que de la merde, et non des enseignements dont nous pourrions tous nous abreuver jusqu'Ã* plus soif, car dans Ton extrême générosité c'est sans compter que tu prodigues aux quatres vents tes nombreux enseignements et que par la volonté divine nous T'écoutons, car c'est ce que toute personne sensée est supposée faire lorsqu'elle croise le chemin du Prophète. Les indécis comme les infidèles ne savent pas ce Ã* côté de quoi ils passent, en tous cas je le croyais jusqu'Ã* présent. Et si -la simple formulation de cette hypothèse m'eplit d'effroi- en fin de compte, lesdits infidèles avaient en fait vu juste ? Et si lors du jour du jugement, il s'avérait que Toi, tu ne sois qu'un faux prophète qui nous aurait sciemment détourné de la Sainte Vérité et de la lumière divine ? Je crois bien que je me petit suissiderais, je n'aurais d'autre choix, la vie me serait insupportable.

Tout cela est bien difficile Ã* digérer, ces questionnements me sont réellement intolérables, aussi je me permets de Te demander s'il te plaît, Ã* l'avenir, lorsque tu voudras critiquer ce que j'écris, avant de le faire, taille-toi donc ton avis en pointe et fourres-toi le au plus profond de ton être physique par l'orifice qui le premier s'est développé lors de Ta phase foetale, cela m'évitera de passer mes nuits Ã* remettre en cause tout ce en quoi je crois.
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Vieux 19/12/2009, 19h40   #21
Laz
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Très bien argumenté par tous les membres du forum !
*En fait , j'ai pas eu le courage de lire ... Tourné autour du pot pendant 50 lignes , l'intérêt ?*
Edit supermodo : sale feignasse, tu vas tout lire ou je te ban direct !! En plus t'as pas respecté la consigne des 15 lignes minimum !!! Et en plus te permets d'émettre un jugement de valeur sur l'utilité du débat sans apporter d'arguments suffisants ou du moins argumentant ton absence d'argumentation et c'est bonnement inacceptable !!!!!


EDIT : culturé

Edit supermodo : bon au moins t'as noté une vanne de merde, c'est au moins un petit point qui joue en ta faveur...
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LE site sur les linkers .
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Dernière modification par drixmok ; 19/12/2009 à 19h50. Motif: N'a pas lu les interventions et remet en question l'utilité du débat
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